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Petrucci - "Un double pas en avant par rapport à 2016"

Au guidon de la toute dernière version de la Ducati, le pilote Pramac Racing a entamé une année studieuse avec enthousiasme, malgré quelques petits accrocs.

Danilo Petrucci, Ducati Team

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Danilo Petrucci, Octo Pramac Racing
Danilo Petrucci, Octo Pramac Racing
Danilo Petrucci, Octo Pramac Racing
Danilo Petrucci, Octo Pramac Racing
Danilo Petrucci, Octo Pramac Racing
Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Pramac Racing

Quatorzième des essais de Sepang, à un peu moins d'une seconde du leader, Danilo Petrucci a connu un certain nombre de difficultés durant ces premiers tests de l'année. Lui qui s'est octroyé la GP17 pour cette saison, il ne disposait que d'une seule machine pour cette séance, or la jeunesse de la dernière-née des ateliers de Borgo Panigale et les nombreux tests à mener lui ont coûté du temps.

Cette moto, qu'il a découverte en novembre à Jerez, lui a d'emblée donné la sensation d'un potentiel important, encore à exploiter. "Le plus important, c'est que j'ai vu qu'on avait de la marge, aussi bien moi que la moto", affirmait-il dès le premier jour de roulage, malgré le temps perdu à cause d'une météo peu favorable.

"Il y a beaucoup de marge et c'est un double pas en avant par rapport à l'année dernière, parce que j'avais la GP15, une moto faite pour les Bridgestone, et que j'ai désormais la moto officielle et qu'elle est faite pour les Michelin. Je dois comprendre dans quelle direction la mener, mais je suis content", assurait-il.

Le lendemain, un problème technique l'a longuement bloqué au stand, puis c'est une chute qui l'a empêché de profiter de la dernière heure d'ouverture de la piste, alors que les conditions de piste s'étaient enfin améliorées après une longue période d'humidité. "Je roulais bien. J'étais en train d'améliorer mon temps, en dépit du fait que j'avais un pneu usé, mais j'ai pris une trajectoire différente et j'ai perdu l'avant. C'était une simple glissade, mais il n'y avait plus assez de temps pour réparer la moto", expliquait-il.

La dernière journée a une nouvelle fois été marquée par quelques soucis techniques qui ont perturbé sa matinée, puis il a retrouvé un bon rythme quand il a pu reprendre la piste, dans l'après-midi. C'était trop tard, cependant, pour se positionner là où il l'aurait souhaité dans la hiérarchie, d'où sa 14e place finale.

"Malheureusement, on a connu quelques soucis [mercredi] matin. La moto est plutôt récente, alors c'est normal et il vaut mieux que cela arrive maintenant qu'en course. Je suis ici pour développer la moto factory, on doit tester beaucoup de choses et tout ne fonctionne pas", constatait-il au micro du site officiel du MotoGP.

"Malheureusement, j'ai manqué la matinée, quand tout le monde a fait le time attack. J'ai commencé à piloter de façon régulière pendant la pause déjeuner, quand la piste était très chaude", poursuivait-il. "Je suis plutôt content parce que j'ai roulé dans des conditions difficiles quand le bitume était très, très chaud et j'ai eu de bonnes sensations jusqu'à ce soir."

Plus d'investissement dans le développement de la moto

Grâce aux résultats obtenus sur la seconde moitié de saison, l'an dernier, Danilo Petrucci dispose en 2017 d'une moto similaire à celle des pilotes de l'équipe officielle, Jorge Lorenzo et Andrea Dovizioso, alors que son coéquipier, Scott Redding, pilote une GP16 datant de l'an dernier. Un nouveau statut qui a ses avantages et ses inconvénients, mais que l'Italien savoure comme il se doit.

"J'aurai l'opportunité de choisir avant tout le monde ce qui sera le mieux. Le point négatif, c'est que j'aurai plus de tests à faire, mais cela ne me déplaît pas", soulignait-il. "Avec trois motos identiques, et surtout avec Lorenzo et Dovizioso - qui ne sont pas tout à fait ce qu'on peut appeler des pilotes lents - sur les deux autres, j'ai beaucoup à apprendre et à observer, et beaucoup à faire après avoir fini de rouler. Regarder les données, voir où je suis plus rapide mais en usant peut-être plus les pneus… Ce sont des choses qui payent à la fin d'une course."

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