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Peu de choses à sauver pour Petrucci à Motegi

L'Italien n'a pas été dans le coup de tout le week-end au Japon, et va devoir rapidement se reprendre s'il souhaite encore contester la place de meilleur pilote indépendant à Cal Crutchlow pour sa dernière année chez Pramac.

Danilo Petrucci, Pramac Racing

Danilo Petrucci, Pramac Racing

Gold and Goose / Motorsport Images

Danilo Petrucci, Pramac Racing
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Danilo Petrucci, Pramac Racing

Que l'édition 2017 du Grand Prix du Japon a dû sembler lointaine pour Danilo Petrucci. L'an dernier, l'Italien avait fait feu de tout bois pour se battre un temps pour la victoire avant de terminer sur la troisième marche du podium à Motegi.

Mais un an plus tard, c'est au contraire à un véritable pensum auquel a été confronté le pilote Pramac, en difficulté dès les essais libres et 15e sur la grille de départ, là où son coéquipier Jack Miller, sur une GP17, accrochait la première ligne après un tour flamboyant.

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Il y a eu du mieux en course, à l'inverse de l'Australien justement, à croire que chacun a bénéficié de "sa" journée au Japon. Mais il y avait trop de terrain à rattraper pour que le Transalpin puisse espérer mieux qu'une neuvième position à l'arrivée.

"Je ne peux pas être très heureux, mais de toute façon, j'ai fini la course. Mon objectif était de finir dans le top 10, et j'y suis parvenu", essayait de positiver Petrucci dimanche après-midi. "J'ai terminé dans le top 10 grâce à des chutes, mais j'ai repris des places au début [de course]."

Le numéro 9 espère maintenant rebondir dès le week-end prochain, à Phillip Island, lors du Grand Prix d'Australie. "J'espère que ce week-end sera utile pour nous, qu'on apprenne beaucoup de choses", reprend-il. "J'ai connu un vendredi et un samedi très difficiles, mais au final je n'ai pas fait beaucoup d'erreurs en course. Je termine dans le top 10 et on a hâte d'aller à Phillip Island. On va essayer d'y être dans le groupe de tête."

Le titre de meilleur pilote indépendant s'éloigne

Au moins l'Italien a-t-il su réagir et à limiter les dégâts lors de la course, même si son résultat n'est pas comparable au nouveau podium de Cal Crutchlow. L'écart entre les deux hommes commence d'ailleurs à se faire sérieusement ressentir au championnat, 15 points les séparant à maintenant trois manches de la fin de saison.

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"Je ne peux pas être content, mais j'ai appris beaucoup de choses ce week-end", martèle Petrucci. "J'ai fait un pari vendredi matin, ça n'a pas fonctionné, et peut-être que j'ai dû plus travailler sur moi que sur la moto. Malheureusement, on se bat avec Cal pour la cinquième place du championnat et le titre de meilleur indépendant, et maintenant Cal se bat plus ou moins tous les samedis pour le podium, alors qu'on n'est pas dans le top 5."

C'est en effet cette zone que le Transalpin devra désormais viser à minima s'il souhaite finir avec le statut de meilleur pilote indépendant en 2018, avant de faire le grand saut avec l'équipe officielle Ducati.

Avec Michaël Duforest

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