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La médaille en chocolat, une première pour Petrucci !

Le pilote Pramac a touché du doigt le podium, avant de s'incliner face à Iannone. Non sans une certaine frustration !

Danilo Petrucci, Pramac Racing

Danilo Petrucci, Pramac Racing

Gold and Goose / Motorsport Images

Danilo Petrucci, Pramac Racing
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Danilo Petrucci, Pramac Racing

Danilo Petrucci a obtenu à Jerez ce qui est son meilleur résultat de ce début de saison, pourtant sa quatrième place le laissait quelque peu sur sa faim, dimanche. Et pour cause, avec la triple chute des prétendants à la deuxième place dans le 18e tour, le pilote Pramac n'est passé qu'à quatre petits dixièmes du podium.

"Je n'avais encore jamais fini quatrième en MotoGP et la sensation est bien plus mauvaise que si on finit deuxième. C'est vraiment nul ! Au moins, quand on est deuxième on monte sur le podium et on prend un prix. Mais quatrième, c'est comme s'entendre dire : 'OK, tu es très bon, mais maintenant tu t'en vas'", commentait un Danilo Petrucci mi-hilare mi-pincé dans les minutes qui ont suivi l'arrivée de la course.

Parti de la neuvième place sur la grille, au terme de qualifications ultra serrées qui l'ont vu se classer à seulement 0"130 de la première ligne, le pilote Pramac abordait la course à la fois conscient des limites qui peuvent être celles de la Ducati sur cette piste et rassuré par le bon travail réalisé sur son rythme. Rapidement, il s'est retrouvé en bagarre à l'avant d'un groupe qui comprenait aussi Rossi, Miller et Iannone.

Si ce dernier a longtemps fait office de locomotive, la GP18 a réussi à prendre l'avantage à six tours de l'arrivée. C'était sans compter sur la réplique de la Suzuki, alors qu'il ne manquait plus que deux boucles, et sa meilleure aisance sur le bitume glissant de Jerez a fini par avoir le dernier mot.

"J'étais en difficulté parce que mon plan était de passer Iannone dans le dernier tour pour ne pas le laisser suivre ma trajectoire", raconte le pilote Pramac. "Avec Jack et Vale qui me poussaient derrière j'étais coincé entre le marteau et l'enclume, j'ai donc attaqué très fort. Franchement, quand j'ai rejoint Iannone je me suis dit que j'allais me creuser un peu d'avance mais il en avait peut-être un peu plus en matière de traction, or nous on a du mal avec la traction."

"J'étais très fort au freinage et c'est là que j'ai réussi à réduire mon retard à chaque fois, mais dans les trois derniers tours je n'avais plus de traction et Iannone a utilisé cela pour me passer. Dans ce virage je n'ai rien pu faire, on était à fond d'accélération et ma moto n'avait pas de traction."

Faussement déçu, le pilote Pramac sait, au fond, que cette quatrième place est une bénédiction et qu'elle doit beaucoup au jeu de quilles qui a éliminé trois pilotes à l'avant de la course. "Bien sûr, je dois être clair : sans le gros accident de Pedrosa, Dovizioso et Lorenzo j'aurais fini sixième ou septième. Mais on doit savourer cette opportunité", admet-il.

Après une bonne performance au Qatar, Petrucci a subi le revers de deux pistes moins favorables à la Ducati, au point de ne plus occuper que la dixième place du championnat en arrivant en Andalousie. Les 13 points engrangés à Jerez lui permettent de grimper d'un petit cran et surtout de limiter les dégâts sur un circuit en théorie peu propice lui aussi à la performance des Desmosedici. Et avec seulement 13 longueurs de retard sur la quatrième place du classement, il sait que la hiérarchie peut fortement évoluer d'une course à l'autre.

"C'est quand même un bon résultat. Ça me met un peu de pression pour les prochaines courses", souligne-t-il. "Dans ce championnat on comprend qu'il faut saisir toutes les opportunités parce qu'on est très, très proches les uns des autres et la limite entre faire une bonne course et une mauvaise course est très fine."

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