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Petrucci encore en difficulté avec le pneu arrière malgré ses efforts

L'Italien a réalisé deux premières courses discrètes au sein de l'équipe officielle Ducati, confronté de nouveau à une usure prononcée de ses gommes.

Danilo Petrucci, Ducati Team

Danilo Petrucci, Ducati Team

Gold and Goose / Motorsport Images

Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team, Francesco Bagnaia, Pramac Racing
Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team, Andrea Dovizioso, Ducati Team
Danilo Petrucci, Ducati Team

Les attentes étaient élevées envers Danilo Petrucci pour ses débuts au sein de l'équipe officielle Ducati . Après des essais hivernaux plutôt positifs, où il avait largement donné le change à son coéquipier Andrea Dovizioso, lié au constructeur de Borgo Panigale depuis 2013, les résultats du numéro 9 sont en revanche plus mitigés en ce début de saison. Il a en effet dû se contenter de deux sixièmes places au Qatar puis en Argentine, alors que son voisin de garage terminait quant à lui sur le podium, avec une victoire en prime à Losail.

Mais si une période d'adaptation est bien sûr nécessaire pour Petrucci, qui doit s'acclimater à sa nouvelle équipe et aux exigences du statut de pilote d'usine, il semble rencontrer les mêmes handicaps que les années précédentes avec sa Ducati.

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Problèmes de masse et de pilotage

Il est de notoriété publique que le Transalpin, qui fait partie des pilotes les plus grands du plateau, affiche un poids sur la balance supérieur à la moyenne, ce qui, combiné à un pilotage réputé agressif, le conduit à user davantage que ses pairs son pneu arrière. Un facteur qui a de nouveau joué en sa défaveur lors de la course en Argentine où, bien qu'auteur d'une belle remontée jusqu'à entrevoir l'espace de quelques instants le podium, il a finalement dû remballer ses ambitions compte tenu de la dégradation de ses gommes.

Interrogé sur le sujet, l'intéressé jurait pourtant travailler sur son pilotage pour remédier à ce point faible persistant chez lui. "Je pilote mieux. Je cherche ma manière de piloter pour ne pas user mon pneu", assurait-il ainsi lors du week-end argentin. "Mais il est clair que dans certaines occasions, par exemple ici où il y a de longs virages à l'accélération, placer plus de poids sur la moto, qui glisse, me fait consommer plus de gomme et je dois donc essayer de me rattraper ailleurs et ne pas faire glisser la moto. Il est certain que parfois c'est un bénéfice, parce que quand je redresse la moto j'arrive à mettre plus de poids à et générer plus de grip, mais quand la moto est encore penchée je dois faire très attention avec l'accélération."

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Compenser le manque de vitesse de la Ducati en virage

S'il est en partie responsable de sa baisse de régime en fin de course en Amérique du sud, Petrucci estime aussi que la nature de la GP19 force les pilotes à user d'un pilotage agressif pour compenser la difficulté, notamment à entrer avec suffisamment de vitesse en virage.

"Le fait est que nous utilisons beaucoup le pneu arrière pour tout, que ce soit au freinage ou à l'accélération", poursuit-il. "Nous avons des difficultés à emmener de la vitesse dans le virage. Quand nous sommes en mesure de freiner fort et d'accélérer tôt, c'est bien, mais quand il nous manque de la traction à l'arrière, la moto est difficile à stopper, nous n'arrivons pas à maintenir cette vitesse."

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Un défaut qui sera d'autant plus visible sur le prochain tracé visité par le MotoGP, celui d'Austin, où les Ducati devraient être en difficulté, surtout face à une adversité composée d'un Marc Márquez invincible sur le circuit texan, et de Yamaha toujours dans le coup. Pour autant, il faudra bien que Petrucci sorte du bois tôt ou tard, lui qui ne dispose que d'une saison pour faire ses preuves au sein de l'équipe officielle, et qui se trouve en concurrence directe pour le second guidon avec les deux pilotes Pramac, Jack Miller et Francesco Bagnaia.

Avec Léna Buffa

 

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