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Pol Espargaró : "On progresse à chaque fois qu'on monte sur la KTM"

Pilote le plus rapide au guidon de la nouvelle KTM cet hiver, l'ancien sociétaire du team Tech3 ne tarit pas d'éloges sur la progression rapide de son nouveau bolide.

Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing

Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing

KTM

Présentations MotoGP 2017

Retrouvez les présentations des équipes de la saison 2017 de MotoGP !

Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Red Bull KTM Factory Racing RC16
Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
La moto de Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Red Bull KTM Factory Racing RC16
Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Les pilotes Red Bull KTM Factory Racing
Red Bull KTM Factory Racing RC16
Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Red Bull KTM Factory Racing RC16

Devenu pilote officiel KTM en novembre dernier, Pol Espargaró emmagasine de l'expérience au gré des pistes arpentées et participe, séance après séance, aux progrès de la RC16. Aux dires du pilote espagnol, la moto sortie des ateliers de Mattighofen a beau être encore très jeune, son année de roulage en essais privés avait déjà permis de constituer une bonne base avant le passage de témoin entre les pilotes essayeurs et les nouveaux titulaires.

Motorsport.com a rencontré l'Espagnol en marge de la présentation de KTM Racing, aujourd'hui à Munderfing, en Autriche.

Quel était le niveau de la KTM quand tu l'as pilotée pour la première fois, après le Grand Prix disputé par Mika Kallio à Valence ?

On a eu de la chance d'avoir Mika, parce qu'il a fait un travail énorme. Je suis vraiment très content de ce qu'il a fait avec la moto. Dès qu'on l'a enfourchée, c'était une bonne moto, avec un bon niveau. On a eu besoin d'améliorer certains aspects de la moto, mais Mika avait déjà fait un boulot énorme. Chaque fois qu'on monte sur la moto, on sent qu'il manque quelque chose. À Valence, on a senti que le châssis était peut-être le plus gros problème, mais on a progressé pour la Malaisie et, là-bas, on a encore plus progressé du côté du châssis. Pour Phillip Island, le châssis était réglé, mais on manque d'un petit quelque chose à l'accélération. C'est une question d'équilibre : chaque fois on améliore une chose et il manque autre chose, mais globalement on peut être heureux. À Phillip Island, après seulement trois jours en piste, on a été très proches des leaders, on est donc très contents.

Le châssis est basé sur un concept complètement diffèrent de celui des autres marques. Quel effet cela fait-il ?

À vrai dire, très bon. J'en suis très surpris, parce qu'on pensait devoir le changer ou réfléchir à un autre type de châssis, mais il fonctionne maintenant à la perfection. Chaque fois que KTM a eu besoin d'améliorer son châssis – pour gagner en entrée de virage ou à l'accélération, etc. –, ils ont progressé dans ce secteur. Ils savent comment cette moto et ce châssis fonctionnent, et ils savent comment l'améliorer chaque fois qu'il leur manque quelque chose. Je suis très content du châssis, je ne voudrais le changer pour rien au monde. Je pense que c'est ce qu'ils connaissent et il est normal que l'on travaille avec.

À Sepang, vous avez évalué plusieurs châssis. Ça ne devait pas être facile de passer de l'un à l'autre…

Bien sûr, ça n'est pas facile, mais on est des pilotes MotoGP et on doit faire ce job. Quand un médecin opère un cœur, c'est difficile aussi, mais notre job c'est de piloter des motos, de comprendre ce qui se passe sur une moto et d'essayer de la régler. Bien sûr, ça n'est pas facile, mais c'est le MotoGP, rien n'est facile en MotoGP. KTM donne tout, ils ont pris Bradley [Smith] et moi pour faire ce job et je pense qu'on est capable de le faire. Il faut que l'on démontre qu'on peut le faire et qu'on peut faire une bonne moto.

Penses-tu que le MotoGP sera encore plus difficile et plus serré cette année ? C'est ce que peuvent laisser penser les temps des essais.

Oui, c'est dingue ! Les écarts sont forcément plus réduits après trois jours d'essais, parce que chaque pilote a plus de possibilités de faire un bon tour et de se rapprocher des leaders. Ce qui se passe cette année est assez intéressant. On était très proche en Malaisie, qui est une très longue piste, et on l'était encore plus à Phillip Island. Ce qu'il y a de bien, c'est qu'on a réduit notre retard : on était à 1"3 du premier mais à moins d'une seconde du deuxième. C'est génial.

Tu as roulé sur trois pistes complètement différentes : Valence, Sepang et Phillip Island. Laquelle sera la meilleure pour la KTM ?

Je me suis senti bien à Phillip Island. Je pense que les pistes courtes, comportant de petites accélérations et sur lesquelles il faut batailler un peu avec la moto seront très bonnes pour KTM. On souffre un peu plus sur les pistes longues, similaires à la Malaisie, parce qu'il nous manque quelque chose sur le moteur et c'est très important, en particulier à l'accélération, mais chaque fois qu'on monte sur la moto on progresse dans l'un ou l'autre des domaines. À l'heure actuelle, il serait idiot de dire qu'on a un point faible dans un secteur parce qu'on progresse à chaque fois qu'on monte sur la moto, alors on verra au Qatar.

Interview Toni Börner

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