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Les progrès de KTM vont venir des détails, selon Pol Espargaró

Dix-septième du championnat 2017, le pilote espagnol attend désormais de capitaliser sur une année complète de travail avec KTM pour progresser sur les domaines encore perfectibles.

Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing

Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing

Gold and Goose / Motorsport Images

Bradley Smith, Red Bull KTM Factory Racing, Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing, Mika Kallio, Red Bull KTM Factory Racing, Pit Beirer, directeur de la compétition de KTM, Hubert Trunkenpolz, membre du conseil d'administration de KTM, Mike Leitner, Team Manager Red Bull KTM Factory Racing
Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Le nouveau carénage de la moto de Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Pit Beirer, directeur de la compétition de KTM, Mika Kallio, Pol Espargaro, Bradley Smith, Hubert Trunkenpolz, membre du conseil d'administration de KTM, Mike Leitner, Team Manager Red Bull KTM Factory Racing
Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing
Pol Espargaro, Red Bull KTM Factory Racing

À deux jours désormais du début du championnat, Pol Espargaró estime que le circuit de Losail, le premier à accueillir le MotoGP, peut se révéler l'un des plus difficiles de l'année pour la KTM RC16. À moins que les progrès majeurs accomplis en un an sur la moto née des ateliers de Mattighofen permettent d'améliorer la situation sur les pistes qui ont posé problème à la marque lors de sa première saison, des problèmes globalement concentrés sur la première partie de saison.

"Je pense que le Qatar est l'un des moins bons [circuits pour nous]. L'an dernier, on a eu du mal au Qatar, on a eu beaucoup de mal au Texas et aussi à Barcelone. Je pense que ces trois circuits sont les pistes sur lesquelles c'est assez compliqué pour nous", suggère le pilote espagnol. "Quoi qu'il en soit, c'est une nouvelle année, le nouveau moteur nous aidera aussi sur ce type de circuits, dans ce type de conditions. [L'année dernière] au Texas et à Barcelone il faisait très chaud, il y avait beaucoup de spinning, et ça ne nous a pas aidés. Dans ce domaine je pense qu'on s'est beaucoup amélioré."

Un an après son engagement dans la compétition, la RC16 a su s'affirmer comme l'une des prétendantes régulières au top 10, ceux-ci s'étant multipliés durant la seconde moitié du championnat 2017. Sa progression fulgurante n'est pas passée inaperçue, au point d'avoir fait de KTM l'une des forces du marché des transferts.

Il n'en reste pas moins que la moto doit encore progresser. "Peut-être un peu à l'entrée du virage, un peu dans les caractéristiques du moteur, dans beaucoup de domaines", souligne Espargaró, conscient également que le pilote doit faire sa part pour mieux dompter le bolide. "Même moi, je dois parfois piloter la moto d'une façon différente, et je dois comprendre un peu mieux cette moto, ça ne fait qu'un an. Beaucoup de choses sur la moto doivent donc être améliorées et changées, et moi aussi."

L'électronique, un domaine très compliqué

Très jeune élève du MotoGP, KTM savait s'attaquer à un Everest en intégrant la catégorie reine, en dépit d'une année de développement intense en piste. Aujourd'hui, après seulement une autre année d'expérience, partagée entre la compétition et des essais privés plus nombreux que les autres marques, le pilote espagnol reste conscient de la jeunesse du projet et de la route encore longue qui s'étend devant les troupes autrichiennes.

"Un constructeur comme Yamaha a du mal avec l'électronique quand les températures changent, quand les situations ou les circuits sont différents, donc vous pouvez nous imaginer nous, changeant des pièces à chaque course, sur le châssis, le moteur, et en plus avec des conditions différentes", pointe-t-il.

"Les gars démarrent de zéro avec cette électronique, c'est donc super compliqué. Je pense que c'est la partie de la moto la plus compliquée, celle avec laquelle on doit le plus travailler, et je pense qu'on a encore beaucoup de marge. Il s'agit de faire des tours, pour comprendre un peu mieux l'électronique. De nouvelle personnes sont arrivées cette année dans l'équipe et développent leurs propres idées à mettre sur la moto, en venant de constructeurs différents, et c'est important, on a besoin d'apprendre."

"Maintenant ça va être une question de détails, je pense. Durant la saison on n'aura pas un gros package ou quelque chose qui va beaucoup changer car on est à une seconde des leaders, et même moins sur certains circuits. Je pense qu'il sera maintenant question de petites choses sur la moto, de petites pièces sur le moteur. Je pense qu'il faudra rouler, rouler, rouler, et en tant que pilote, s'adapter un peu plus à la moto."

Avec Gerald Dirnbeck et Michaël Duforest

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