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En réintégrant le MotoGP, Abraham veut retrouver le plaisir

Son départ pour le Superbike n'aura finalement été qu'une courte parenthèse. Après un an au guidon de la BMW S1000RR, Karel Abraham retrouve cette année le MotoGP avec une Ducati satellite.

Karel Abraham, Aspar MotoGP Team, Alex Rins, Team Suzuki MotoGP

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Karel Abraham, Aspar MotoGP Team
Karel Abraham, Aspar MotoGP Team
Karel Abraham, Aspar MotoGP Team
Alvaro Bautista, Aspar MotoGP Team, Karel Abraham, Aspar MotoGP Team
Karel Abraham, Aspar MotoGP Team
Jorge Martínez et Karel Abraham, Aspar Team
Alex Rins, Team Suzuki MotoGP, Karel Abraham, Aspar MotoGP Team
Karel Abraham, Aspar MotoGP Team
Karel Abraham, Aspar MotoGP Team, Alex Rins, Team Suzuki MotoGP
Karel Abraham, Aspar MotoGP Team
Karel Abraham, KTM RC16
Karel Abraham, Team Milwaukee

Le programme client de BMW qu'a mené l'an dernier le team Milwaukee n'a pas fait ses preuves et chacun des protagonistes a choisi de changer de cap pour 2017, l'équipe se liant à Aprilia, Josh Brookes reprenant le chemin du championnat britannique et Karel Abraham celui du MotoGP. Le bilan de son aventure WSBK a rapidement été décevant et sa saison ne lui a rapporté que 33 points et la 18e place au championnat, avec pour meilleur résultat une neuvième place à Donington.

Le voici donc de retour en Grands Prix, dans un paddock qui l'a vu évoluer plus de dix ans, dont cinq en MotoGP. Un retour aux sources pour le pilote tchèque, qui a gardé l'an dernier le contact avec sa discipline de cœur grâce aux quelques tests menés avec KTM, mais qui se réjouit désormais de réintégrer à temps plein une compétition où il possède ses racines.

"C'est bien d'être de retour. Je pourrais en parler pendant des heures, mais lorsque je suis allé en WSBK, c'était parce que je n'avais pas de bonne option pour rester en MotoGP", explique-t-il. "Cela n'a pas fonctionné comme on l'espérait et j'ai fini par devoir quitter l'équipe, je n'ai pas pu rester. La saison dernière, nous avons vu que j'avais une opportunité de revenir en MotoGP avec le team Aspar et c'est que je souhaitais. C'est là que j'ai grandi, parce que j'ai débuté en Championnat du monde à 15 ans. Je préfère être en MotoGP, entre autres parce que j'y suis plus habitué."

Pour ce nouveau chapitre de sa carrière, Karel Abraham retrouve Ducati, la marque avec laquelle il a disputé ses deux premières saisons en MotoGP, qui furent également les meilleures. À l'époque, la Desmosedici affichait encore un cadre singulier et l'on était loin de la GP15 qu'il va désormais piloter. "La moto est très différente", constate-t-il. "Je me sens bien avec [cette moto] et je suis plus en confiance, parce que je sais comment elle va répondre. Ça n'était pas le cas avant."

Abraham a testé sa nouvelle moto à l'occasion des essais de Valence et de Jerez, en novembre dernier. C'est encore peu pour se faire une idée de son potentiel : "Il n'est pas facile de faire des comparaisons avec les autres motos, parce que je n'ai eu que quatre jours de tests et l'un d'eux était avec la GP14, sans compter que tous les pilotes n'étaient pas à Jerez. Il est difficile d'établir des comparaisons pour l'instant. À mes yeux, la moto est incroyable, mais il est trop tôt [pour juger de ses points forts]."

Difficile de définir un objectif

Aujourd'hui âgé de 27 ans, le natif de Brno reprend sa quête de résultats en MotoGP, lui qui n'y a visité le top 10 que lorsqu'il pilotait une Ducati satellite, en 2011 et 2012, et qui était parti, en 2015, sur blessure.

"J'espère avoir une moto compétitive, qui fonctionne. J'ai vraiment hâte d'entamer la saison", assure-t-il, annonçant un objectif des plus simples : "Pour le dire simplement, j'aimerais prendre du plaisir en piste. Quand un pilote prend du plaisir, généralement les résultats ne sont pas mauvais."

"Mais il est difficile de dire à l'heure actuelle ce que serait un bon résultat. La première place est un bon résultat, mais en conditions normales c'est loin de notre portée. On pourrait dire que onzième est un bon résultat… mais dixième c'est encore mieux. Et que dire si jamais tout le monde progresse fortement ? Alors quinzième serait peut-être un bon résultat. Pour le moment, je voudrais juste être content de mes performances et, si c'est le cas, les résultats seront bons", conclut-il.

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