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Rins aurait renouvelé son contrat même sans Brivio

Tous deux recrutés par Davide Brivio, Álex Rins et Joan Mir affichent leur confiance à l'encontre de Suzuki pour réussir à surmonter le départ du team manager, qui a choisi de rejoindre Alpine en F1.

Joan Mir, Alex Rins, Team Suzuki MotoGP et Davide Brivio, Team manager du Team Suzuki MotoGP

Joan Mir, Alex Rins, Team Suzuki MotoGP et Davide Brivio, Team manager du Team Suzuki MotoGP

Suzuki MotoGP

À un mois de la reprise, avec notamment au programme début mars la présentation officielle de l'équipe, Suzuki se remobilise à la suite du départ surprise de son team manager. Álex Rins, qui a admis avoir été sous le choc après avoir initialement cru à une blague, se montre aujourd'hui confiant de voir la formation se relever de ce changement organisationnel et maintenir le niveau qui l'a menée au titre sous la direction de Davide Brivio.

"Cette situation est nouvelle pour moi", souligne le pilote espagnol, rappelant par là sa surprise, "parce que la veille du jour où c'est passé dans les médias, il m'a appelé et m'a dit : 'Álex, j'ai quelque chose à te dire, je vais quitter l'équipe Suzuki'. J'ai pensé que c'était une grosse blague. Mais c'était vrai, et ça a été un gros choc pour moi comme pour toute l'équipe. Mais c'est sa décision."

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"Il va nous manquer, c'est clair, parce qu'on parlait beaucoup, on plaisantait et il me donnait des conseils. J'espère qu'il viendra nous rendre visite sur quelques courses", souligne Álex Rins, qui juge dans les colonnes de AS que Davide Brivio a été "indispensable" au sein de l'équipe avec laquelle il a fait ses débuts en MotoGP il y a quatre ans.

Indispensable, mais pas irremplaçable, car lorsque le journal espagnol lui demande si, en sachant que le responsable italien allait partir, il aurait accepté de renouveler son contrat pour deux saisons supplémentaires comme il l'a fait au printemps dernier, s'engageant alors jusque fin 2022, Rins n'hésite pas longtemps. "C'est une bonne question, mais sincèrement je pense que je serais resté", répond-il. "Suzuki est une grande famille. Il s'en va, mais il laisse beaucoup de monde derrière lui. Je pense que je serais resté, sauf s'il avait dit qu'il avait une place pour moi dans l'écurie de F1 où il va, alors j'y aurais réfléchi !"

Recruté par Brivio pour la saison 2017, Rins a remporté trois Grands Prix et s'est systématiquement classé dans le top 5 du championnat ces trois dernières saisons. Aujourd'hui, il veut faire confiance à la stratégie mise en place par Suzuki pour assurer la continuité du travail livré par le team manager, qui aura été aux manettes de la formation depuis son retour en MotoGP. Afin de ne pas précipiter un remplacement qui bouleverserait l'organisation interne, le choix a été fait de confier les responsabilités de Brivio à ceux qui restent, à commencer par Shinichi Sahara, chef du projet.

"Suzuki semble ne vouloir mettre personne [à sa place] pour le moment, et s'ils pensent cela je crois que c'est ce qu'il y a de mieux à faire parce que ça n'est pas facile de choisir rapidement un team manager. La situation dans l'équipe est bonne actuellement et je crois qu'on va rester comme ça", appuie Rins.

Engagé sur la même durée de contrat que son coéquipier, Joan Mir a également prolongé son accord il y a près d'un an pour les saisons 2021 et 2022, et lui aussi affiche sa confiance dans la formation avec laquelle il a triomphé l'an dernier. "Je pense qu'il y a des personnes très compétentes dans l'équipe", souligne-t-il auprès du journal AS. "Sahara est un type extraordinaire, un homme de parole, très sérieux et professionnel, qui saura faire avancer les choses. J'ai encore deux ans à passer avec Suzuki et je ne suis pas inquiet. Je leur fais confiance."

"J'espère qu'il ne me manquera pas, j'ai confiance que ce ne sera pas le cas", assure le pilote majorquin, qui sait pourtant tout ce qu'il doit à Davide Brivio depuis qu'il l'a recruté pour intégrer Suzuki et le MotoGP. "L'histoire a été très belle et j'espère que ça se passera très bien en F1, mais d'un autre côté, franchement, j'ai une grande confiance dans Suzuki."

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