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Rossi : "Très important" d'avoir un test team en Europe en MotoGP

Yamaha peut désormais compter sur une équipe de tests basée en Europe pour le développement des futures M1. La structure était déjà au travail fin novembre.

Jonas Folger, Yamaha Factory Racing

Gold and Goose / Motorsport Images

Jonas Folger, Yamaha Factory Racing
Jonas Folger, Yamaha Factory Racing
Jonas Folger, Yamaha Factory Racing
Jonas Folger, Yamaha Factory Racing
Jonas Folger, Yamaha Factory Racing
Jonas Folger, Yamaha Factory Racing
Jonas Folger, Yamaha Factory Racing
Jonas Folger, Yamaha Factory Racing
Jonas Folger, Yamaha Factory Racing
Jonas Folger, Yamaha Factory Racing
Jonas Folger, Maverick Vinales, Yamaha Factory Racing
Jonas Folger, Yamaha Factory Racing

Les difficultés rencontrées par Yamaha ces deux dernières saisons et l'incapacité du constructeur japonais à les résoudre auront tout de même eu des répercussions positives. En effet, celles-ci ont permis de révéler en plein jour les carences de l'équipe de développement de la marque aux trois diapasons, qui a eu beaucoup de mal à rectifier le tir rapidement, ne revenant au premier plan que lors de la tournée outre-mer, lors des ultimes courses de la saison 2018.

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Ce manque de réactivité a fini par se traduire par des mesures concrètes, et notamment l'établissement d'une équipe de tests basée en Europe, au plus près de l'action de la majorité du championnat. Une entité qui faisait en effet cruellement défaut à Yamaha, dont l'essentiel des essais était jusqu'ici réalisé au Japon, sur des circuits où ne s'aventure pas la catégorie reine. Cela impliquait de longues distances et des délais trop longs pour pilotes et pièces, qui vont dorénavant pouvoir travailler avec plus de sérénité. C'est en tout cas l'avis de Valentino Rossi.

"Dans le MotoGP moderne, il est très important d'avoir un test team qui roule en Europe", assure l'Italien. "La nôtre roule habituellement au Japon, mais les pistes y sont complètement différentes. Ils roulent peu à Motegi, mais sur d'autres pistes qui ne sont pas comparables à celles où l'on court."

Folger, le profil parfait

Tout aussi important, le besoin d'avoir un pilote fiable, rapide et capable de formuler des retours techniques précis est une nécessité pour qui veut progresser dans une discipline aussi élitiste que le MotoGP. En cela, l'arrivée de Jonas Folger, qui a roulé à Valence sur la M1, constitue un véritable pain béni pour l'équipe japonaise.

"Il est très, très important d'avoir un pilote comme Folger qui est, selon moi, un grand talent", poursuit Rossi. "Il a déjà piloté la M1 et il peut être quelqu'un qui mène la moto à la limite comme un pilote officiel, alors je crois qu'il va nous aider et je suis très content que ça se soit mis en place."

Il est vrai que le jeune Allemand avait brillé lors de son année (incomplète, pour cause de problème de santé) chez Tech3, en 2017, s'assurant d'un podium mémorable sur ses terres, au Sachsenring.

"C'est très intéressant d'avoir un bon pilote et un bon test team", insiste Rossi. "Parce que quand quelque chose de nouveau va arriver Folger pourra l'essayer et il est capable de mener la moto à la limite, proche de nous, on peut donc avoir de meilleures informations."

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Lorsqu'il a repris la piste, en novembre pour le compte de Yamaha, Folger avait déjà de premières missions bien ciblées. "Ils veulent avoir plus de durée de vie dans les pneus, particulièrement pour les courses du début à la fin", expliquait-il. "On va donc essayer beaucoup de cartographies d'un point de vue électronique. C'est pourquoi aussi c'est si différent de ce que je connais, car ils essaient de faire un moteur plus souple, c'est là-dessus que nous travaillons."

Quant à savoir si des wild-cards seront au menu de sa saison, l'Allemand ne souhaitait pas s'avancer. "Je pense que nous devons attendre un peu. Il y a une chance, oui", reprenait-il. "Nous en avons parlé, mais avant tout, nous devons faire d'autres tests, puis nous pourrons voir si nous sommes assez rapides. Je veux le faire, oui, et je pense qu'il y a une chance pour ce soit possible, mais avant tout, il est important de tester et de faire progresser la moto pour les deux autres pilotes : c'est la priorité."

Avec Léna Buffa et Guillaume Navarro

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