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Rossi s'inquiète de son rythme, mais ne baisse pas les bras

Après une journée compliquée à Phillip Island, le pilote Yamaha ne partira que de la troisième ligne, avant tout conscient qu'il lui faut améliorer son rythme sur la durée.

Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentin Rossi, Yamah Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing

Valentino Rossi s'élancera dimanche de la septième place sur la grille de Phillip Island, un placement mitigé dû aux difficultés qu'il a rencontrées cet après-midi, lorsqu'il lui a fallu disputer les deux phases des qualifications après que la piste a été douchée et salie ce matin par la pluie.

"L'année dernière, la course avait été super, j'avais pris beaucoup de plaisir, malheureusement aujourd'hui je ne suis pas aussi rapide que l'an dernier", constate le pilote Yamaha, contraint d'en passer par la première séance de qualifications après n'avoir obtenu que le 12e temps au cumul des essais libres.

"En partant de la Q1, ça n'est pas si mal. Je ne suis pas sur les deux premières lignes, mais en tout cas je suis premier de la troisième ligne, alors je ne suis pas trop loin", observe-t-il, lui qui a signé des temps très similaires en Q1 et en Q2. "J'ai pu arriver très tôt à un assez bon temps, mais ensuite j'étais trop à la limite en entrée de virage et malheureusement je n'ai pas pu progresser dans mon dernier tour pour être dans le top 5."

"Je ne suis pas très content des réglages de la moto, on doit essayer de faire mieux", pointe Rossi. "On n'est pas très loin, mais en même temps je ne suis pas assez fort à l'heure actuelle pour faire une bonne course et me battre pour les premières places. Il faut donc qu'on trouve quelque chose." Et le pilote résume : "Ce qui m'inquiète, c'est naturellement de partir de la troisième ligne parce que ça n'est pas génial, mais surtout mon rythme parce que je ne suis pas tellement compétitif."

"Deux ou trois degrés font une grande différence"

Pour autant, le Docteur ne s'avoue pas vaincu, espérant améliorer ses performances sur la durée dans l'optique d'une course qui comptera 27 tours. "J'y crois et on ne baisse pas les bras", promet-il. "On a vu qu'avec ces pneus et ces motos on peut bien progresser d'un jour à l'autre – ou aussi régresser, d'ailleurs. On va donc travailler, mais ce que je veux dire c'est qu'en termes de rythme je n'ai rien de spécial. Et puis il y a la question des pneus, à l'avant comme à l'arrière, et ce sera ça aussi très important à comprendre."

Après deux jours de roulage, les choix de pneus restent en effet incertains pour une partie du plateau car Phillip Island est une piste notoirement complexe à appréhender du fait de son adhérence élevée et de sollicitations très fortes sur les gommes, pouvant aisément mener à leur usure prématurée.

"Je crois que c'est une grande question pour tout le monde, parce qu'avec le pneu soft tout le monde a un meilleur potentiel et est plus rapide, mais pour 27 tours c'est critique. Cela dépendra beaucoup des conditions, de la température", prévient le pilote de Tavullia, qui veut surtout s'assurer d'économiser le pneu arrière. "Le pneu avant soft m'a aidé en Q1 mais en Q2 il était limite, il était endommagé. Deux ou trois degrés d'écart font une grande différence alors pour demain ce sera crucial de faire le bon choix de pneus, à l'avant aussi mais surtout à l'arrière."

 

L'autre grand point d'interrogation concerne la météo, sachant que les pilotes ont eu une journée complète sur le sec hier puis une journée mixte aujourd'hui, avec une averse matinale qui a mis à mal les conditions de piste. Or, sur l'île australienne, chacun sait que les caprices du ciel sont difficilement prévisibles mais peuvent avoir un impact majeur sur les performances.

"On doit attendre de voir quelle sera la météo. On espère qu'à 16h il fera beau comme aujourd'hui", suggère Rossi, tout en se montrant ouvertement critique de cet horaire de départ, décalé de deux heures par rapport au programme classique afin de mieux convenir aux fans et aux médias européens.

Quoi qu'il en soit, il espère véritablement courir sur le sec, à condition que la météo reste stable au préalable et que la piste soit propre. "Ce matin, en full wet, je me suis senti mieux qu'à Motegi, j'ai eu de meilleures sensations. Mais ensuite quand la piste s'est asséchée je me suis senti inconfortable avec la moto", explique-t-il. "Alors j'espère qu'il fera beau et que ce sera sec."

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