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Rossi n'exclut pas le MotoE pour son équipe à l'avenir

Valentino Rossi n'écarte pas la possibilité d'un programme en MotoE à l'avenir pour le Sky Racing Team VR46. En attendant, il se concentre sur les Grands Prix classiques, où il souhaite contrer la mainmise espagnole...

Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing

Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing

Gold and Goose / Motorsport Images

La première saison du MotoE, championnat électrique qui vient se greffer sur le programme des week-ends MotoGP, sera disputée par des équipes déjà toutes engagées en Grand Prix. Pour un total de 18 pilotes (dont trois Français), ce sont 12 teams qui ont répondu présent, en plus de leur engagement en MotoGP ou bien dans ses séries annexes que sont le Moto2 et le Moto3.

Si le Sky Racing Team VR46 manque à l'appel, c'est d'après son patron car les conditions n'étaient pas réunies pour le mener à bien correctement en 2019. "Cette année on ne sera pas en MotoE, parce qu'on va voir comment ça se passe, mais aussi parce qu'on n'a pas la force, le personnel ou la place pour monter une autre équipe et tenter de bien le faire", explique Valentino Rossi.

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"On a donc décidé de rester en Moto3 et en Moto2, et de poursuivre notre projet, qui est de faire grandir des pilotes italiens. L'année prochaine, on aura quatre pilotes en Championnat du monde", rappelle Rossi, qui ne ferme toutefois pas la porte : "On verra – peut-être à l'avenir, pourquoi pas."

Mettre fin à la "toute-puissance espagnole"

Pour 2019, les effectifs du Sky Racing Team VR46 sont donc clairement définis, avec pour but de s'en tenir à la mission qui lui est fixée, à savoir former de jeunes pilotes italiens et les accompagner jusqu'au plus haut niveau du Championnat du monde.

"L'année prochaine, on fera le CIV et non le CEV", explique Rossi, dont l'équipe alignera en championnat d'Italie les jeunes Elia Bartolini et Lorenzo Bartalesi. "Ce sera difficile de réussir à rééditer le travail qu'on a déjà fait, et surtout à atteindre les mêmes résultats que ceux obtenus avec Morbidelli, Pecco, mon frère [Luca Marini], mais on va essayer. C'est bien d'essayer de continuer, et puis travailler avec les jeunes c'est très sympa."

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Outre les deux pilotes cités, engagés en Italie, le team du Docteur alignera Luca Marini et Nicolò Bulega en Moto2, et Dennis Foggia et Celestino Vietti Ramus en Moto3

"Ces dernières années, on a fait du très bon travail en Italie", se félicite le boss des troupes de Tavullia, qui a pu célébrer cette année le premier titre de son équipe et a mené ces deux dernières années deux membres de son Academy vers le sacre puis vers le MotoGP. "Deux titres sont arrivés en Moto2, d'abord celui de Morbidelli puis celui de Bagnaia. L'année prochaine, ils auront tous les deux une belle équipe et une belle moto, et ils pourront donc être très compétitifs. Et puis on a encore quelques jeunes qui vont monter."

"C'est important, essayer de combattre la toute-puissance espagnole de ces dernières années, il faut essayer de faire monter quelques Italiens pour l'avenir de la moto", juge Valentino Rossi, lui-même dernier Champion du monde italien en MotoGP... un titre qui fêtera l'an prochain ses dix ans.

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