
Donner ou prendre le sillage : entre aubaine, tolérance et nécessité !
Prendre le sillage d'un rival pour gagner en performance... ou être celui qui est accroché et donne, de son plein gré ou non, un avantage à un concurrent. Le sujet n'a pas pas fini de faire parler, mais crée en tout cas des dynamiques intéressantes entre les pilotes du plateau MotoGP.
Prendre la roue d'un autre pilote : de l'aveu même de ceux qui pratiquent la ruse pour comprendre des choses sur ceux qu'ils poursuivent ou tenter de profiter de la forme de ceux-ci pour eux-mêmes réaliser un chrono performant, mieux vaut se trouver en position de devoir éviter d'avoir recours à cette démarche. Néanmoins, la fin justifie parfois les moyens, et au sein d'un plateau MotoGP de plus en plus serré et compétitif, soumis à un programme très tendu chaque week-end pendant les séances, certains doivent bien – ponctuellement ou régulièrement – s'aider d'un rival en piste pour optimiser leurs propres performances, bien souvent à contrecœur.
Et alors qu'il hérisse parfois les poils des fans, observateurs ou membres des équipes, le sujet semble moins agacer une bonne partie des pilotes qui savent que cela fait non seulement partie du jeu, mais qu'ils peuvent tous, tour à tour, eux-mêmes être amenés à profiter un jour de ce phénomène. Le thème a été particulièrement commenté récemment par différents protagonistes, après plusieurs épisodes distincts.
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