Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse
Interview

Viñales se réjouit de bientôt apprendre aux côtés de Rossi

Motorsport.com a profité du dernier Grand Prix des Pays-Bas pour rencontrer Maverick Viñales et échanger avec lui sur son avenir, à court et moyen terme.

Le poleman Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing, et le deuxième Maverick Viñales, Team Suzuki MotoGP

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Maverick Viñales, Team Suzuki MotoGP
Maverick Viñales, Team Suzuki MotoGP
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing, Maverick Viñales, Team Suzuki MotoGP
Maverick Viñales, Team Suzuki MotoGP
Maverick Viñales, Team Suzuki MotoGP
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Maverick Viñales, Team Suzuki MotoGP
Maverick Viñales, Team Suzuki MotoGP, Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing

À quatre mois de son départ de Suzuki, l'équipe qui l'a propulsé sous les feux des projecteurs du MotoGP, l'Espagnol reste pour l'heure concentré sur sa saison et sur l'objectif à atteindre : progresser, encore et toujours, afin de s'abonner aux premières places. Il n'en oublie pas moins la perspective qui se profile pour lui à l'horizon 2017, celle d'intégrer l'équipe Championne du monde en titre, Yamaha, aux côtés du coéquipier le plus stimulant qu'un pilote puisse envisager avoir.

Comment juges-tu la première moitié de saison ?
"On a besoin de connaître d'autres progrès, qui viennent de la moto. On est en permanence à la limite et on est 4e, 5e ou 6e. Avec le soutien de Suzuki, on pourra faire un autre bond en avant et essayer d'être régulièrement classés aux trois ou quatre premières places. Franchement, on répond plutôt bien aux objectifs de la saison. L'année dernière, j'ai terminé avec 97 points et cette année j'en ai déjà 79, il y a vraiment une grande différence. Ce que je veux simplement dire, c'est que la moto a progressé, mais pas encore assez pour que l'on soit vraiment réguliers aux avant-postes."

Durant cette première moitié de saison, tu as terminé 3e au Mans et signé également deux 4e places.
"Oui, Le Mans c'était vraiment génial. Je suis très content de la façon dont se passe la saison. L'équipe travaille très bien. Il faut juste qu'on accomplisse ce dernier progrès pour être régulièrement aux avant-postes."

Quelle est ta relation avec Aleix au sein de l'équipe ?
"On travaille ensemble, comme toujours. Normalement, chaque partie de l'équipe fait son propre travail et ils les mettent en commun à la fin de la journée, et ça fonctionne. Avec Aleix, je pense qu'on a une meilleure relation que l'année dernière."

Quelles sont les courses que tu attends avec impatience sur la suite de la saison ? Et quelles peuvent être les pistes difficiles ?
"Silverstone peut être très bien, le Sachsenring… Les pistes qui arrivent à présent peuvent être très bonnes pour nous. L'année dernière, le Sachsenring a été l'une des pires pour nous, mais avec la puissance de cette année, je pense qu'on peut être plus forts. Les pistes qui s'annoncent difficiles pour nous sont la Malaisie. Misano, Aragón : celles où il fait très chaud et où le grip est faible."

L'année prochaine, tu rejoindras Yamaha. Ça n'a pas été une décision facile pour toi. Qu'est-ce qui t'a convaincu ?
"C'est difficile à dire, parce que les deux équipes ont un excellent niveau. Je sais que ma moto (la Suzuki, ndlr) peut être l'une des machines de pointe l'année prochaine ou peut-être la suivante, parce que je sais comment travaille mon équipe et je sais qu'ils peuvent vraiment bien la développer. Ils sont très motivés à l'idée de faire une bonne moto et d'atteindre les sommets. J'ai pris ma décision après la course du Mans, [une fois rentré] à la maison, parce que je veux avoir dès maintenant la chance de me battre pour remporter le titre, et ce dès la première course. Yamaha a montré que je les intéressais beaucoup et le plan pour l'avenir est très bon, alors j'ai fini par prendre cette décision."

Tu vas donc devenir le coéquipier de Valentino. Ça a sans doute pesé dans ta décision ?
"Que ce soit Valentino, Jorge ou un autre, j'aurais fait le même choix. Au final, quand tu rejoins une équipe, tu as ton propre team, tu travailles et tu essayes de gagner. Que l'autre pilote soit une légende n'y change rien. Ce qu'il y a de bien avec le fait que Valentino soit là, c'est que je vais pouvoir beaucoup apprendre. Il a maintenant 37 ans et il continue à gagner, il y a donc quelque chose dans sa manière de travailler qui réussit très bien. Je suis content, parce que Valentino est mon idole d'enfance."

Interview Casper Ferwerda

Be part of Motorsport community

Join the conversation
Article précédent Édito - Les unités en puissance
Article suivant Le TT Assen a son Tunnel des champions

Top Comments

Il n'y a pas de commentaire pour le moment. Souhaitez-vous en écrire un ?

Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse