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Misano, Fellon, staff KTM : dans la tête de Johann Zarco

La 13e manche du championnat du monde MotoGP débute à Misano, où Johann Zarco a tenu son habituel point presse du jeudi.

Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3, quitte la réunion de la Commission de sécurité
Laurent Fellon

Séance de questions-réponses avec le pilote français de l'équipe Tech3 Yamaha, qui aborde la manche de Misano en septième position au général et avec un capital confiance reconstitué par sa première ligne sur la grille britannique.

Content de rouler ici, ce week-end ?

C'est une piste que j'aime bien. En Moto2, ça a bien performé, l'an dernier ce n'était pas mauvais, mais après ce n'est pas une piste facile. Cela reste une piste assez serrée, où l'on va faire beaucoup de tours, et c'est assez physique durant toute la première partie. Mais elle me plaît.

Je m'attends à un week-end difficile dans des conditions constantes, car le manque d'essais ici peut nous faire prendre un peu de retard. Il faut donc que j'arrive à me détacher de toutes ces pensées pour foncer et voir où cela me mène.

Ce manque d'essais [par rapport aux équipes ayant testé en privé] est-il un désavantage ?

Si je le rattrape, tant mieux : cela veut dire que je suis vraiment en forme et que c'est bon pour moi. Mais si je sens qu'il y a du retard et que j'ai du mal, il faut vraiment que je ne me prenne pas la tête et que je ne m'énerve pas pour ça, parce que sur des pistes techniques comme ça, de petits changements peuvent vraiment te libérer. Et ça prend du temps de trouver ces petits changements.

On parle d'une piste technique, ici, pourquoi ? Quels sont les avantages et inconvénients ici ?

Pour moi, quand je dis technique, c'est que tout s'enchaine très vite sur cette piste. On est dans un virage, et oh ! On est déjà dans le suivant, et ça enchaine de nouveau à la sortie du virage 3, puis le 4, le 5, le 6… Tout cela est incessant et on a vite tendance à être en apnée. Tout saute aux yeux, et on fatigue. On force sur la moto. Et si d'un coup, tout ça peut sembler être au ralenti dans ma tête, je sais que je peux en tirer avantage. Après, on va dire qu'il y a trois accélérations où les Ducati et les Honda auront peut-être mieux placé leur puissance, et là, ce sera un point faible pour la Yamaha. Mais là… On part déjà dans le trop technique, je n'aime pas entrer là-dedans !

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Concernant ta situation avec Laurent Fellon, tu avais parlé plus tôt dans la saison d'une annonce pour ici, en Autriche…

Non, il n'y a pas d'annonce officielle à faire. J'ai pu annoncer que tout ce qu'on avait essayé d'évoquer, on pourrait mieux le mettre en place courant septembre. Mais l'objectif est de garder notre manière de s'entraîner ensemble [avec Laurent Fellon, son mentor, ndlr], cet œil qu'il a en bord de piste, qui peut aider, même pendant les Grands Prix. Pas systématiquement, parce qu'il ne peut pas être là tout le temps, mais quand il est là, et surtout quand on développera une [nouvelle] moto. Des fois, quelques mots peuvent permettre de ne pas se poser les mauvaises questions et après, pour ma part, le fait de m'entraîner avec lui m'aide à toujours revenir à l'essentiel. Comme on peut parfois vite se prendre la tête sur plein d'aspects techniques dans cette catégorie, revenir aux bases, parfois, fait du bien.

Le plateau MotoGP est acté pour l'an prochain, as-tu réfléchi à ton équipe technique : mécano, chef mécano ?

Elle est fixée, cette équipe. C'est plutôt à KTM de l'annoncer.

Tu ne vas imposer personne ?

J'ai tenté d'avoir quelqu'un [rires] ! Mais je suis heureux de ce que j'aurai l'an prochain. J'ai tenté et je n'ai pas eu la personne qu'au départ je souhaitais – c'était celle avec qui j'ai été deux fois Champion du monde en Moto2, ce fameux Massimo [Branchini]. Mais lui-même a dit que ce projet Moto2 Triumph et la place qu'il a actuellement chez Ajo le satisfont complètement et il préfère garder ce rythme de vie, plutôt qu'un rythme de vie factory racing parfois plus intense que ce qu'il a actuellement.

Cela va me permettre de connaitre de nouvelles personnes, et par rapport aux personnes du paddock qui m'apprécient et me connaissent bien, je sais que je vais avoir une équipe intéressante, avec qui on va foncer dans la même direction.

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