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Zarco : "On arrive sans doute plus humbles que l'an dernier"

Le Français préfère concevoir sa chute dans la Sarthe comme un mal pour un bien, et entend bien repartir le couteau entre les dents ce week-end en Italie.

Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3 devant les medias
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3

W.Z. Mugello − On oublie tout et on repart de l'avant ! Tel est sans doute le mantra de Johann Zarco à l'heure d'aborder la sixième manche du championnat, qui se tient ce week-end sur le circuit du Mugello, en Italie.

C'est peu de dire que l'abandon au Mans – son premier en 14 mois et seulement son deuxième en MotoGP – a constitué une déception pour le Français. Mais 11 jours après les faits, c'est plus que jamais dans un état d'esprit conquérant qu'il arrive en Toscane.

Les essais de Barcelone, le dérivatif parfait

Il est vrai que les essais de Barcelone, qui se sont déroulés dans la foulée du Mans, ont sans doute permis au numéro 5 de digérer plus facilement sa chute survenue quelques jours plus tôt, mais dorénavant la concentration est clairement centrée sur cette sixième épreuve du calendrier.

Sûr de ses forces ainsi que de celles de sa Yamaha, le pilote Tech3 s'inscrit d'ailleurs en faux par rapport à ceux qui considèrent le tracé transalpin comme peu favorable aux machines de la marque aux trois diapasons, la faute à un supposé manque de puissance.

"Il y a cette grande ligne droite où, de toute façon, la puissance parle", mentionne Zarco, visiblement peu convaincu par les assertions de nombre de ses pairs, pilotes et observateurs du paddock confondus. "Mais ensuite, c'est tout un enchaînement du premier au 15e virage. Le compromis 'on perd et on rattrape' [du temps sur un tour] est différent ici [qu'au Mans]. Ce yoyo peut se faire ici, alors qu'au Mans, là où j'ai eu du mal, c'est parce qu'on avait au moins deux accélérations. En fait, il y avait celle de la ligne droite des stands, et celle après le Garage Vert. Donc pendant un tour, il y a deux fois où on perd l'écart. Ici, à la limite, on ne le perd qu'une fois [et] beaucoup, donc à voir."

L'an dernier, à un premier podium dans la catégorie reine sur le circuit Bugatti au terme d'une course flamboyante avait suivi une autre épreuve, bien plus terne en Italie, où il avait dû en passer par la Q1, se qualifiant au final en 11e position avant de rallier l'arrivée à la septième place.

Douze mois plus tard, l'idée sera donc d'être plus à l'aise d'emblée sur la Yamaha, de sorte de pouvoir travailler sereinement tout au long du week-end sur les réglages. "Je veux déjà remédier aux mauvaises sensations que j'ai pu avoir l'an passé", avance Zarco. "Maintenant, je contrôle mieux la moto, je la comprends mieux, on la règle mieux avec l'équipe. Il faut donc vite avoir ces bonnes sensations qui me donnent toute la confiance sur le train avant, et ensuite gérer ce grip arrière. Si j'atteins ce stade là, je serai déjà plus content que l'an dernier. J'arrivais fort d'une progression extra l'an dernier, et ensuite j'ai commencé à avoir du mal. Là on va très vite, mais la désillusion est déjà venue au Mans. On n'est plus du tout dans la même mentalité. On arrive peut-être plus humbles au Mugello cette année que l'an dernier."

De bons souvenirs dans les petites cylindrées

Paradoxalement, le Français affirme avoir été plus à son aise sur le Mugello lorsqu'il évoluait dans de plus petites cylindrées. Il garde sans doute en mémoire son premier véritable fait d'armes sur la scène des Grands Prix, une sixième place obtenue en 2009 en 125cc – même si un succès en Moto2 en 2016 a probablement remplacé ce moment dans l'esprit de bon nombre de personnes.

"C'est un tracé que j'apprécie beaucoup", affirme-t-il. "En 125cc, j'ai eu de bonnes [années en]  2009 et 2011, et après en Moto2 j'ai eu du mal. Finalement quand la moto était plus grosse j'ai eu du mal. J'ai quand même pu gagner en 2016 et c'était fantastique. Mais on va dire que je captais mieux ce circuit sur de petites cylindrées que sur de plus grosses. Mais à présent, je n'ai plus d'a priori quand je viens sur un circuit."

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