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Zarco : "Nous avons du potentiel"

Johann Zarco a fini la deuxième journée d'essais à Valence à la troisième place, derrière les pilotes Honda, après avoir de nouveau utilisé la Yamaha de 2017.

Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3

Gold and Goose / Motorsport Images

Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3
Johann Zarco, Monster Yamaha Tech 3

Comme lors de la course à Valence, c'est en compagnie des deux pilotes Honda que Johann Zarco a bouclé la dernière journée d'essais sur le circuit Ricardo Tormo. Et pour cette dernière séance de roulage avant la trêve hivernale, le Français s'est de nouveau vu confier une Yamaha de 2017.

Le pilote Tech3 a ainsi eu du pain sur la planche, preuve en est les 65 tours couverts aujourd'hui, qui viennent s'ajouter aux 53 déjà bouclés hier. Mais le jeu en valait la chandelle compte tenu des précieux retours formulés par le Cannois, qui a décelé dans la machine de cette année un potentiel certain. 

"[J'ai utilisé] le châssis 2017, pour voir où nous pouvons progresser", explique-t-il. "Je n'ai pas pu être aussi rapide qu'avec la moto de 2016, mais de ce que nous avons analysé avec l'équipe, nous sommes à la même vitesse mais nous avons du potentiel. Cela signifie que c'est un pas en avant."

Quid de la dégradation des gommes ?

La question qui était bien sûr sur toutes les lèvres était de savoir si le Français a rencontré les mêmes problèmes que ses homologues de l'écurie officielle, à savoir une nette dégradation du pneu arrière, source d'un déficit de traction qui a impacté négativement leurs résultats durant toute la saison.

"J'ai essayé de travailler davantage avec le pneu, un peu plus que sur la moitié d'une distance de course", confirme-t-il. "C'est encore un point difficile, mais nous travaillons là-dessus. Je suis parfois rentré au stand avec des commentaires plutôt négatifs parce que j'avais l'impression que je ne pouvais pas attaquer plus, mais après d'autres runs je me suis dit qu'on était quand même compétitifs."

Des sentiments très divers donc, et qui ne font que souligner le besoin de bien décortiquer, à froid, l'ensemble des données recueillies lors de ces deux derniers jours de roulage de 2017. "Ce sont des informations que nous devons bien analyser après ces tests", reprend Zarco. "En Malaisie, ce sera bon de travailler sur la distance d'une course. Mais je crois que nous avons au moins un bon potentiel à exploiter, et lorsque nous aurons trouvé les bons réglages, ce sera une moto capable de gagner."

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