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Alpine, un titre mondial pour lancer la marque

Alpine est allé chercher un titre mondial en Chine. Résultat logique d'une saison impeccable, il vient appuyer le futur lancement de la marque, et récompenser le travail de Signatech, Lapierre, Menezes et Richelmi.

#36 Signatech Alpine A460: Gustavo Menezes, Nicolas Lapierre, Stéphane Richelmi

#36 Signatech Alpine A460: Gustavo Menezes, Nicolas Lapierre, Stéphane Richelmi

Vision Sport Agency

#36 Signatech Alpine A460: Gustavo Menezes, Nicolas Lapierre, Stéphane Richelmi
Podium LMP2: troisème place #36 Signatech Alpine A460: Gustavo Menezes, Nicolas Lapierre, Stéphane Richelmi
#35 Baxi DC Racing Alpine A460 - Nissan: David Cheng, Ho-Pin Tung, Paul-Loup Chatin
#36 Signatech Alpine A460: Nicolas Lapierre
#36 Signatech Alpine A460: Gustavo Menezes, Nicolas Lapierre, Stéphane Richelmi
#36 Signatech Alpine A460: Gustavo Menezes, Nicolas Lapierre, Stéphane Richelmi
#36 Signatech Alpine A460: Gustavo Menezes, Nicolas Lapierre, Stéphane Richelmi
#35 Baxi DC Racing Alpine A460 - Nissan: David Cheng, Ho-Pin Tung, Paul Loup CHatin
#36 Signatech Alpine A460: Nicolas Lapierre
#36 Signatech Alpine A460: Nicolas Lapierre, Stéphane Richelmi, Gustavo Menezes
#36 Signatech Alpine A460: Gustavo Menezes, Nicolas Lapierre, Stéphane Richelmi
#35 Baxi DC Racing Alpine A460 - Nissan: David Cheng, Ho-Pin Tung, Nelson Panciatici
#36 Signatech Alpine A460: Gustavo Menezes, Nicolas Lapierre, Stéphane Richelmi
#35 Baxi DC Racing Alpine A460 Nissan: David Cheng, Ho-Pin Tung, Paul-Loup Chatin

Devant plus de 50'000 spectateurs, Alpine s’est imposé à Shanghai. Pas de présence sur le podium, certes, l’équipe normande le manque de quelques dixièmes. C'est au championnat du monde qu'il faut regarder. En terminant quatrième, Alpine s’est offert un titre. Idéal, à l’heure de lancer la voiture de série, prévue pour janvier.

Il faut dire que la saison d’Alpine a été idéale. Les voir triompher ainsi n'était pas surprenant : "C'est vrai que nous avons mis les moyens pour 2016", expliquait Bernard Ollivier, le grand patron d’Alpine, en septembre, après la victoire à Austin.

Associée avec Signatech depuis 2013, avec titre ELMS à la clé, Alpine s’est aussi attiré les services d’Oreca. L’A460, comme l’A450, sa devancière, a une filiation certaine avec les châssis du constructeur de Magny-Cours. Pour cette saison, c’était bien sur l’Oreca 05 qu’il fallait miser. Aussi, l'Alpine ne pouvait qu'être efficace.

 

Côté pilotes aussi, il y avait moyen de bien s’entourer, et en misant sur une valeur sûre, Nicolas Lapierre, un ancien espoir de la monoplace, Stéphane Richelmi, et le très rapide Gustavo Menezes, la "dream team", comme la surnomme Bernard Ollivier, avait tout pour réussir.

Quatre années de succès

Après des débuts sages à Silverstone, Alpine a enchaîné les victoires. D’abord à Spa, puis de façon magistrale aux 24 Heures du Mans. Avant de confirmer au Nürburgring. La dernière remonte aux États-Unis, en septembre, avec la pole en prime.

Depuis, l’équipe, certes dans le coup, assurait aussi les points. "Dans une saison, il faut parfois savoir courber l’échine pour prendre des gros points", analysait Philippe Sinault, le patron de Signatech, après Fuji. "C’est ce que nous avons fait." En Endurance, ce n’est pas le tout de courir. Il faut aussi arriver à point.

Ce qu’a su faire aussi aujourd’hui l’équipage. Pourtant, l'épreuve n’a pas été simple. Quelques erreurs sont venues perturber la course de la voiture bleue, comme ce tête-à-queue de Menezes, en milieu de course, ou ce contact de Lapierre, avec une Ferrari. "Les pneus sont la clé de la course, avec cette piste difficile", comme l'expliquait Nicolas Lapierre, à la fin de son premier relais.

 

"Nous devons gérer l'usure. C'est compliqué. La course va être longue ! Pareil avec le trafic. Il existe plusieurs trajectoires. Je me suis fait avoir. J'ai eu une incompréhension avec une Ferrari et nous nous sommes touchés. Nous essayons de rester en piste, avec le championnat en tête !"

Longtemps en lice pour le podium, avec cette belle bagarre face à l'ORECA de G-Drive et la Ligier d'ESM les trois hommes ont finalement dû s’incliner, dans la dernière heure, face à la Ligier du RGR. Ironie du sort, ils s’inclinaient face à la rivale du championnat, battue, au final.

En terminant quatrièmes, les trois hommes ont assuré leur titre côté pilotes, et la couronne pour Signatech et Alpine. Un titre mondial, ce qui n’était plus arrivé à Alpine depuis 1973, et la première édition du championnat du monde des rallyes. 

"Quatre ans d’engagement sportif en Endurance, avec ce partenariat avec Signatech", déclarait Bernard Ollivier sur Twitter, en fin de course. "Nous avons tout gagné. Exceptionnel chemin démarré tout petit."

"C’est une aventure humaine d’abord", ajoutait-il. Un aventure ponctuée d’un premier titre mondial, qui, semble-t-il, en appelle d’autres. Pourquoi pas en GT, un jour ?

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