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Interview

Canal chez Rebellion : "Tout ce qu'il faut pour faire une belle année"

Le Sarthois Julien Canal a rejoint cette année, les Suisses de l'écurie Vaillante Rebellion. Une chance pour l'un des gentlemen driver les plus en vue du plateau, qui peut viser le titre mondial, et pourquoi pas une victoire au Mans ?

#31 Vaillante Rebellion Racing Oreca 07 Gibson: Julien Canal, Bruno Senna

#31 Vaillante Rebellion Racing Oreca 07 Gibson: Julien Canal, Bruno Senna

Erik Junius

#31 Vaillante Rebellion Racing Oreca 07 Gibson: Julien Canal, Bruno Senna
#31 Vaillante Rebellion Racing Oreca 07 Gibson: Julien Canal, Bruno Senna
#41 Greaves Motorsport Ligier JSP2 - Nissan: Julien Canal
#31 Vaillante Rebellion Racing Oreca 07 Gibson: Julien Canal, Bruno Senna
#41 Greaves Motorsport Ligier JSP2 Nissan: Julien Canal
#13 Vaillante Rebellion Racing Oreca 07 Gibson: Mathias Beche, David Heinemeier Hansson
Vaillante Rebellion Racing
Rebellion Racing, Oreca
Julian Canal, Gentleman Driver de l'année
G-Drive Racing : Julien Canal
#41 Greaves Motorsport Ligier JSP2 Nissan: Memo Rojas, Julien Canal, Nathanael Berthon
#13 Vaillante Rebellion Racing Oreca 07 Gibson: Mathias Beche, David Heinemeier Hansson
Julien Canal, Vaillante Rebellion Racing

G.N., Monza - Malheureux avec Greaves en ELMS l'an passé, sans victoires ni podiums, Julien Canal revient en Championnat du monde d'Endurance avec des ambitions sérieuses. Pilote Vaillante, il est associé à deux pilotes aux noms légendaires : Bruno Senna et Nicolas Prost. De quoi envisager sérieusement un nouveau titre mondial, même si, pour le moment, le Sarthois se concentre sur son intégration dans sa nouvelle équipe. Samedi, les Vaillante Rebellion se sont montrées à l'aise, trustant les meilleures places, tout au long de la journée.

De retour en Championnat du monde d'Endurance, sous le sigle Vaillante, avec Rebellion… Comment vivez-vous cette nouvelle aventure ?

C'est un grand honneur et un grand plaisir de revenir en WEC. Il y a beaucoup d'émotions, j'ai des coéquipiers qui sont incroyables (Nicolas Prost et Bruno Senna). Le premier point, c'est que ce sont de bonnes personnes. Au-delà d'être des grands noms, ce sont des gens bien et des pilotes très rapides. Michel Vaillant, Rebellion, mes équipiers : c'est tout ce qu'il faut pour faire une belle année.

Le retour en WEC, c'était un  objectif pour vous ?

Oui, après un an ELMS, je souhaitais vraiment y revenir. Il y a sept ans, j'étais en Porsche Carrera Cup, depuis, j'ai fait l'ILMC en 2011, puis le WEC. Après avoir fait tout ça, le titre LMP2 en 2015, je me demande ce que je vais bien pouvoir faire après !

Par rapport à la Ligier que vous avez essayée l'an dernier, vous êtes désormais au volant de l'Oreca 07. Les différences sont-elles grandes ?

C'est un petit peu différent de la Ligier. La Ligier au volant est un petit peu plus tendre. L'ORECA est une voiture un peu plus incisive, un peu plus précise, et extrêmement efficace. Je pense que l'ORECA est un peu moins abordable que la Ligier. C'est une autre expérience pour moi. Dommage pour Ligier, c'était un peu ma famille, c'est avec eux que j'ai gagné le WEC en 2015.

Nouveau règlement cette année en LMP2, les voitures sont plus rapides. Cela se ressent-il déjà ?

C'est énorme, oui. J'avais pris part aux tests de la nouvelle Ligier l'année dernière, on était plus rapides aux alentours de deux à trois secondes, là on a passé la barre des trois secondes. Pour un novice, trois secondes, ça peut paraître peu, mais en tant que pilote, quand on est assis dans la voiture, c'est impressionnant. Il y a beaucoup de G latéraux, beaucoup de grip. Physiquement on ressent beaucoup les changements. Ici, cela ne se ressent pas trop, mais sur des courses comme Shanghai, où il fait chaud, humide, cela peut faire la différence.

En tant que pilote, quel est le programme sur un événement comme le Prologue ?

Pour moi, qui arrive chez Rebellion, c'est d'abord la découverte de l'équipe, de la voiture, des gens du team. Notre casier est attribué, celui où on mettra nos affaires, le casque… Ensuite, on vérifie la position de conduite, Bruno Senna et moi allons partager le même baquet, du fait de notre grande taille. C'est très important pour les changements de pilote, cela fera une chose de moins à penser. Ensuite, on s'habitue à plein de petites choses… On prépare le plan de course, on découvre la voiture.

Justement, Monza est-il le bon endroit pour découvrir une voiture ?

J'aime venir ici. C'est un endroit chargé d'émotions pour moi, j'y ai toujours fait de bonnes courses. Notamment, un championnat d'Europe en Formule Renault où j'ai fini quatrième. J'ai plaisir à rouler ici. En termes de choix, je ne sais pas si c'est bon. On ne roule pas ici cette année. Il y a beaucoup de lignes droites, donc on teste l'aéro. Cela dit, notre kit Le Mans n'est pas prêt. Surtout, on va chercher la fiabilité après les quelques mésaventures que l'équipe a pu rencontrer à Daytona et Sebring.

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