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Ogier s'attend à une deuxième étape encore plus difficile

Le désormais quintuple Champion du monde n'occupe que la huitième place au terme de la première journée en Australie, et n'aura pas une position de départ beaucoup plus avantageuse pour la seconde.

Sébastien Ogier, Julien Ingrassia, Ford Fiesta WRC, M-Sport

Photo de: M-Sport

Sébastien Ogier, Julien Ingrassia, Ford Fiesta WRC, M-Sport
Sébastien Ogier, Julien Ingrassia, Ford Fiesta WRC, M-Sport
Sébastien Ogier, Julien Ingrassia, Ford Fiesta WRC, M-Sport
Sébastien Ogier, M-Sport
Sébastien Ogier, Julien Ingrassia, Ford Fiesta WRC, M-Sport
Ott Tänak, Martin Järveoja, Ford Fiesta WRC, M-Sport
Ott Tänak, Martin Järveoja, Ford Fiesta WRC, M-Sport
Ott Tänak, M-Sport
Sébastien Ogier, Julien Ingrassia, Ford Fiesta WRC, M-Sport
Ott Tänak, Martin Järveoja, Ford Fiesta WRC, M-Sport
Sébastien Ogier, Julien Ingrassia, Ford Fiesta WRC, M-Sport
Elfyn Evans, Ford Fiesta WRC, M-Sport

Sébastien Ogier a signé le troisième puis le deuxième chrono lors des deux passages dans la première et la plus courte des trois spéciales de la première étape (super spéciales exceptées) en Australie. Le reste du temps, son copilote Julien Ingrassia et lui ont eu à subir le lot de ceux qui ouvrent la route lors des rallyes sur terre, et jouer le rôle de balayeurs.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, heure de Paris, l'équipage français de M-Sport a de plus rencontré un problème d'ordre électronique au niveau de la sélection des rapports, qui a obligé le pilote à les passer manuellement dès la deuxième spéciale du jour. Et après qu'il y a été remédié pour la suivante, le problème s'est à nouveau manifesté par intermittence sur la Ford l'après-midi.

"Ce n'est pas un début de rallye optimal, mais nous savions que nous aurions un désavantage ce week-end. Nous avons eu un souci de sélection de vitesse toute la journée qui n'a pas aidé, et dans les deux secondes spéciales [ES2/5 et ES3/6, ndlr] en particulier, on pouvait voir que la route était de mieux en mieux [après le passage de] chaque voiture", a expliqué Ogier.

"Bien sûr, cela signifie que nous n'avons pas une position de départ géniale pour demain où l'on s'attend à ce que le balayage de la route soit encore pire – mais on va essayer d'apprécier quand même. Nous sommes loin d'un bon résultat pour l'instant, mais il reste beaucoup de chemin et nous allons continuer d'attaquer."

Tänak derrière Neuville

S'élancer en quatrième position sur la route pour la deuxième étape (derrière Esapekka Lappi, Elfyn Evans et Stéphane Lefebvre, au moins pour la première spéciale) devrait toutefois faire une différence et apporter une amélioration, même légère, pour le Français. Et deux rangs derrière lui s'élancera son coéquipier Ott Tänak, dont les chances de reprendre la deuxième place finale du championnat à Thierry Neuville (deuxième du rallye et qui comptait 14 points d'avance sur lui en arrivant aux Antipodes) semblent s'amenuiser inexorablement. Sixième, l'Estonien ne pointe certes qu'à 12"2 du top 3, mais son rival occupe quant à lui la deuxième place.

"Ce n'est pas le début de rallye que nous espérions et ce n'était pas facile avec notre position sur la route [la troisième, ndlr]. Évidemment, Thierry [Neuville] a fait du bon boulot, donc on ne peut pas trop se plaindre, mais on a eu quelques dégâts aérodynamiques dans chacune des deux boucles, ce qui a rendu les choses encore plus difficiles", a expliqué Tänak, qui a en effet endommagé l'aérodynamique à l'avant de sa Fiesta le matin, puis à l'arrière l'après-midi.

"Quand on regarde les écarts, ça reste très serré et le podium n'est pas trop loin. Bien sûr, ce sera difficile avec le balayage demain [samedi, et la nuit prochaine en France, ndlr], mais on a encore deux longues journées à venir. Si on peut trouver un peu de performance et attaquer fort, tout est possible."

Le troisième pilote M-Sport et vainqueur du Rallye de Grande-Bretagne, Elfyn Evans, est moins à son affaire en Australie sur la Fiesta équipée de pneus Dmack. Dixième du général, il serait sans doute le dernier classé des pilotes officiels et d'une World Rally Car 2017 sans les problèmes d'Esapekka Lappi et sa Toyota (panne de direction assistée et tête-à-queue dès l'ES2).

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