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Deuxième défi sur terre pour la Toyota Yaris WRC

L'équipe du constructeur japonais, de retour cette année en Championnat du monde des Rallyes, espère une belle progression ce week-end par rapport à la première apparition de sa voiture sur ce type de terrain, au Mexique.

Jari-Matti Latvala, Miikka Anttila, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing

Jari-Matti Latvala, Miikka Anttila, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing

Jari-Matti Latvala, Miikka Anttila, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing
Jari-Matti Latvala, Miikka Anttila, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing
Jari-Matti Latvala, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing
Jari-Matti Latvala, Miikka Anttila, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing
Juho Hänninen, Kaj Lindström, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing
Jari-Matti Latvala, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing
Juho Hänninen, Kaj Lindström, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing
Jari-Matti Latvala, Miikka Anttila, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing
Juho Hänninen, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing
Juho Hänninen, Kaj Lindström, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing
Kaj Lindström, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing
Jari-Matti Latvala, Miikka Anttila, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing
Jari-Matti Latvala, Miikka Anttila, Toyota Yaris WRC, Toyota Racing

Auréolé d'une victoire inattendue en Suède avec Jari-Matti Latvala, Toyota était revenu sur terre en même temps que sur... terre lors du premier rendez-vous non-européen de la saison. Victimes d'un problème de surchauffe sur les spéciales à très haute altitude de la première journée, et bien que ne signant aucun temps scratch contrairement à leurs rivales de chez Citroën, Hyundai et M-Sport (Ford), les Yaris WRC n'en avaient pas moins terminé toutes les deux pour la première fois dans les points.

"Nous avons appris de nombreuses choses utiles du Mexique en particulier, avec la terre et l'altitude élevée, ce qui nous servira pour l'Argentine", déclare le directeur de l'équipe, Tommi Mäkinen. "Nous améliorons la voiture à chaque rallye, donc notre objectif est de voir une nouvelle progression ici. Je pense que nous sommes dans une meilleure position maintenant qu'en arrivant au Mexique, donc nous pouvons viser un bon résultat."

Vainqueur trois fois consécutivement en Argentine, les années des trois premiers de ses quatre titres mondiaux en tant que pilote en 1996, 1997 et 1998, Mäkinen, qui avait un faible pour ce rallye, connaît bien ses principales difficultés et caractéristiques. "En tant que pilote, j'ai toujours pensé que l'Argentine était un rallye fantastique, avec de la terre et des conditions fraîches, donc c'est probablement ce que nous pouvons attendre – une météo mitigée cette fois encore", dit-il.

Le leader de son équipe, Jari-Matti Latvala, qui s'est lui-même imposé il y a trois ans en Argentine au volant d'une Volkswagen, connaît également bien ce rallye pour l'avoir déjà disputé à huit reprises depuis 2007, avec également une troisième, une quatrième et deux sixièmes places à son actif.

Gare à la météo, au brouillard en particulier

"J'ai toujours eu un très bon feeling avec le Rallye d'Argentine. Nous y avons déjà gagné [avec son copilote Miikka Anttila], et même l'an dernier, nous étions en tête jusqu'à ce que nous ayons un problème et sortions de la route le samedi après-midi", se souvient Latvala. "Les deux premières journées sont rapides et fluides, puis la dernière est plus lente et plus technique, avec des spéciales piégeuses comprenant beaucoup de virages et la possibilité de très mauvaises conditions météo, notamment du brouillard."

"Bien que les routes aient tendance à être meubles et sableuses, il y a généralement un assez bon grip. J'ai travaillé sur les réglages en particulier : je ne pense pas qu'ils étaient les meilleurs qui soient pour moi au Mexique, donc c'est quelque chose que je voulais vraiment améliorer pour l'Argentine, et nous avons quelques bonnes solutions maintenant."

Doté d'une bien moins grande expérience, Juho Hänninen, n'a disputé qu'une fois le Rallye d'Argentine, il y a déjà dix ans et au volant d'une Mitsubishi Groupe N. Mais il semble en garder un bon souvenir, et son enthousiasme ne sera pas de trop pour celui qui, malgré quelques bons chronos de ci de là, a surtout été remarqué pour plusieurs erreurs cette année et doit sans doute d'ores et déjà se méfier d'Esapekka Lappi qui fera ses débuts sur une troisième Yaris au Portugal.

"J'ai plein de bons souvenirs en Argentine, donc je suis vraiment impatient d'être de retour après de nombreuses années d'absence sur un de mes rallyes terre préférés", dit Hänninen, auteur d'une course assez solide au Mexique où il avait été malade tout le week-end. "Il n'y a pas que les spéciales qui sont fantastiques, mais aussi le public, qui est tellement passionné de rallye, même sur les secteurs routiers."

"Bien sûr, une grande inconnue est la météo car tout est possible ici, ce qui rend les choses difficiles si les conditions changent après les reconnaissances. En tous les cas, ça n'affectera pas beaucoup notre set-up : si c'est vraiment boueux, on peut rendre la voiture un peu plus souple mais on ne fera pas de gros changements. Quoi qu'il arrive, il est important de juste piloter naturellement, sans ressentir trop de pression."

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