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Le Rallye de Pologne explique son éviction par "des erreurs humaines"

Les nombreux manquements à la sécurité ont entraîné le retrait de la manche polonaise du calendrier WRC. Une situation dont l'organisation de l'épreuve espère retenir les leçons pour mieux revenir dans le futur.

Thierry Neuville, Nicolas Gilsoul, Hyundai Motorsport, Hyundai i20 Coupe WRC

Thierry Neuville, Nicolas Gilsoul, Hyundai Motorsport, Hyundai i20 Coupe WRC

Helena El Mokni/Hyundai Motorsport

Hayden Paddon, Sebastian Marshall, Hyundai i20 WRC, Hyundai Motorsport
Ott Tänak, Martin Järveoja, Ford Fiesta WRC, M-Sport
Ole Christian Veiby, Stig Rune Skjaermoen, Skoda Fabia R5
Stéphane Lefebvre, Gabin Moreau, Citroën C3 WRC, Citroën World Rally Team
Hayden Paddon, Sebastian Marshall, Hyundai i20 WRC, Hyundai Motorsport
Stéphane Lefebvre, Gabin Moreau, Citroën C3 WRC, Citroën World Rally Team
Mads Østberg, Ola Fløene, Ford Fiesta WRC
Dani Sordo, Marc Marti, Hyundai i20 WRC, Hyundai Motorsport
Sébastien Ogier, Julien Ingrassia, Ford Fiesta WRC, M-Sport
Andreas Mikkelsen, Anders Jæger, Citroën C3 WRC, Citroën World Rally Team
Sébastien Ogier, Julien Ingrassia, Ford Fiesta WRC, M-Sport
Éric Camilli, Benjamin Veillas, M-Sport, Fiesta R5

Pour le directeur de course du Rallye de Pologne, Jaroslaw Noworol, le retrait de son événement du calendrier 2018 du championnat du monde WRC est à mettre sur le compte d'erreurs humaines. Celui-ci insiste cependant sur le fait qu'il travaille déjà à un retour de l'épreuve dans la discipline.

L'épreuve sera remplacée l'an prochain par le Rallye de Turquie, alors que la FIA et le promoteur du WRC ont mis en avant des infractions répétées à la sécurité des spectateurs pour justifier ce retrait du calendrier 2018

Des errances dont Noworol semble assumer la pleine responsabilité : "En tant qu'organisateurs, nous prenons l'entière responsabilité des incidents qui se sont déroulés et ont mené à une mauvaise évaluation des standards de sécurité. Ces incidents sont le résultat d'erreurs humaines et non pas de négligence de notre part. Nous ne comptons pas relâcher nos efforts pour faire notre retour en WRC lors des prochaines années."

Revenu au calendrier en 2014, le Rallye de Pologne avait déjà été dans l'oeil du cyclone il y a deux ans après de premiers manques à la sécurité. Mais l'épreuve a fait de nouveau parler d'elle cette année, notamment en ce qui concerne la sécurité des spectateurs. Les étapes du vendredi et du samedi ont ainsi débuté en retard car certains d'entre eux étaient mal placés dans les spéciales.

Un précédent en 2015

Plus grave, des voitures de spectateurs ont été signalées sur quelques portions, sans compter un camion de pompiers qui a pénétré sur une portion chronométrée, en sens inverse, et qui a fini inévitablement par se retrouver nez à nez avec une voiture de rallye.

Autant d'éléments qui n'ont pas joué en faveur du maintien de l'épreuve. "Nous commençons à travailler sur le développement d'un nouveau concept de sécurité grâce à l'aide du Département sécurité de la FIA", reprend Noworol. "Il faut mettre l'accent sur l'évaluation globale élevée du rallye confirmée par les documents pertinents des délégués de la FIA qui examinent l'organisation de l'épreuve. Les rapports détaillés fournis par les représentants de la FIA confirment que, hormis les problèmes de sécurité, il n'y avait pas d'autre objection formulée à l'encontre de notre rallye. Compte tenu du fait que la sécurité des fans est cruciale pour la FIA, malheureusement, le Rallye de Pologne n'a pas été maintenu au prochain calendrier WRC."

Le promoteur du WRC, Oliver Ciesla est pour sa part revenu sur le retour de la Turquie, une première depuis 2010 : "La Turquie détient un important marché automobile, que ce soit en termes de ventes que d'industrie. Près d'un million de véhicules y ont été vendus en 2016, et les raisons sportives de cette réintroduction vont de paire avec une logique commerciale dynamique. Je suis ravi que le retour de la Turquie ait été unanimement soutenu par les manufacturiers [participant au championnat]."

 

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