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Kris Meeke répond aux critiques de son patron

Kris Meeke et Yves Matton

Photo de: Citroën Communication

Kris Meeke et Paul Nagle, Citroën DS3 WRC, Citroën World Rally Team
Kris Meeke, Citroën World Rally Team
Kris Meeke et Paul Nagle, Citroën DS3 WRC, Citroën World Rally Team
Yves Matton
Kris Meeke et Paul Nagle, Citroën DS3 WRC, Citroën World Rally Team
Kris Meeke et Paul Nagle, Citroën DS3 WRC, Citroën World Rally Team
Kris Meeke and Paul Nagle, Citroën DS3 WRC, Citroën World Rally Team
Kris Meeke et Paul Nagle, Citroën DS3 WRC, Citroën World Rally Team
Kris Meeke et Mads Ostberg, Citroën DS3 WRC, Citroën World Rally Team
Kris Meeke et Paul Nagle, Citroën DS3 WRC, Citroën World Rally Team

Le Directeur de Citroën Racing, Yves Matton, y était allé récemment de commentaires peu amènes envers Kris Meeke. Ce dernier, qui a remporté cette année sa première victoire en WRC, au Rallye d’Argentine, a depuis connu pas mal de déboires avec notamment une sortie de route dès la première spéciale en Sardaigne puis un tonneau lors du shakedown en Pologne.

Ces deux derniers faux-pas, notamment, avaient fait dire à son patron qu’il avait “détruit sa victoire du Rallye d’Argentine.”

La place du pilote nord-irlandais dans l’équipe est alors apparue fragilisée, d’autant plus que ces propos étaient survenus peu après ceux du même Yves Matton expliquant que Sébastien Loeb manquait au Championnat du Monde des Rallyes. Des propos qui, à tort ou à raison, ont laissé libre cours à diverses interprétations et suscité certaines rumeurs concernant un éventuel retour du nonuple Champion du Monde en en WRC l’an prochain.

Une victoire finalement chanceuse en Argentine ?

Quoi qu’il en soit, Meeke n’est pas resté sans réagir à ces critiques.

Personne ne me reprendra ma victoire en Argentine, quoi qu’il arrive,” a-t-il déclaré lors d’une interview donnée au site internet du WRC. “C’était un réel succès, même si Volkswagen y a vécu le pire week-end depuis l’arrivée de cette équipe en Mondial.”

Et Meeke, volontairement ou non, de rappeler alors qu’il ne s’estime pas seul responsable de ses résultats décevants.

Il faut néanmoins être réaliste,” a-t-il en effet ajouté. “Le Portugal l’a montré. Je crois que nous avons peut-être été encore plus forts au Portugal qu’en Argentine et nous n’avons pas pu faire mieux que quatrième derrière trois Polo. C’est la preuve de notre niveau.”

Pour être honnête, j’ai passé ma carrière à ne pas savoir de quoi l’avenir serait fait. Ça ne fait que se poursuivre aujourd’hui. Il n’y a pas de différence.

Kris Meeke

“La Sardaigne est une immense désillusion et la déception d’Yves était évidente,” a-t-il reconnu, avant de préciser qu’il ne plaçait pas la deuxième de ses récentes mésaventures sur le même plan.

“En Pologne, le rallye s’est bien passé considérant que nous n’avons pas pu faire d’essais avant le départ. Nous avons fait un mauvais choix de pneus. Sans cela, nous nous battions avec Hayden [Paddon, le pilote Hyundai] pour une quatrième place. Pour moi, nous avons fait une faute en Sardaigne, c’est tout.”

À l’entendre, le message que lui a envoyé Yves Matton, selon lequel il lui faudrait maintenant démontrer qu’il mérite de rester au volant d’une DS3 WRC en 2016, ne semble pas perturber l’ex-protégé de Colin McRae dont il a peut-être hérité du caractère bien trempé.

La volonté de bien faire est bien là

Pour être honnête, j’ai passé ma carrière à ne pas savoir de quoi l’avenir serait fait,” a-t-il rappelé. “Ça ne fait que se poursuivre aujourd’hui. Il n’y a pas de différence. Je me sens dans la norme. J’ai toujours été sous pression pour avoir la chance d’aller disputer le prochain rallye, signer un bon résultat et obtenir un nouveau contrat. J’ai traversé des moments bien plus difficiles. En ce moment, j’ai un baquet et un volant pour faire du bon travail et montrer que nous voulons continuer l’an prochain.”

Façon de dire aussi, tout de même, qu’il entend bien répondre à l’injonction de sa hiérarchie lors des prochaines épreuves, à commencer par la Finlande ce week-end.

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