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La pluie pourrait compliquer les choses côté pneus aux Antipodes

Des inquiétudes existent quant au fait qu'une météo humide puisse compromettre une bonne utilisation des gommes sur la manche décisive du Championnat du monde des Rallyes, ce week-end en Australie.

Ott Tänak, Martin Järveoja, Toyota Gazoo Racing WRT Toyota Yaris WRC

Ott Tänak, Martin Järveoja, Toyota Gazoo Racing WRT Toyota Yaris WRC

McKlein/LAT Images

Disputée au cœur de l'été dans l'hémisphère sud, l'épreuve basée à Coffs Harbour se déroule généralement sous un ciel bleu et par une température ambiante avoisinant les 30 degrés. Cette semaine, cependant, la menace de significatives averses est réelle, ce qui rendrait difficile d'utiliser le pneus dur "prime" de Michelin.

Les équipages se voient allouer 28 de ces enveloppes dures et seulement 16 de type medium en raison des conditions attendues. Si la pluie arrive, il s'agira de gérer l'utilisation des gommes les plus tendres.

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Ingénieur pneus chez M-Sport, George Black estime que le pire des scénarios serait celui voyant les trois jours de course se dérouler sur un terrain humide mais s'asséchant.

"Si c'est complètement humide, les routes deviennent très meubles et les pneus ne s'useront pas", a-t-il expliqué à Motorport.com. "Dans ces conditions, on peut utiliser les mediums pour la deuxième boucle [de spéciales, l'après-midi] sans trop de soucis. Si c'est vraiment mouillé, je ne m'inquiète pas. Le problème est si c'est juste humide, on a alors besoin d'utiliser la gomme la plus tendre, mais on a quand même de l'usure et c'est là que ça devient un souci de faire le rallye avec 16 pneus."

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Auteur du chrono le plus rapide au shakedown en Australie et leader du championnat, Sébastien Ogier est le pilote qui espère le plus la pluie. Une averse nocturne apporterait plus de grip aux routes en terre de Nouvelle-Galles du Sud que s'il se retrouvait forcé de balayer une surface dure, sèche et glissante pour ceux qui le suivent.

"Ce serait mieux pour moi, mais s'il pleut beaucoup, alors ça peut être très glissant – on l'a vu en 2011 où c'était très, très piégeux sur ces routes", a temporisé le Français. "Mais vous savez, la météo change beaucoup et rapidement, alors je ne croirai à la pluie que quand je la verrai."

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