Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse
Actualités

Nombreux prétendants pour le retour non-officiel de Yamaha en WSBK

Le drapeau Yamaha

Le drapeau Yamaha

Larry Kuivila

Le drapeau Yamaha
Ben Spies
Noriyuki Haga sur le podium
Un technicien Yamaha World Superbike Team au travail
Troy Corser, Yamaha YZF-R1 2007
Podium : seconde place pour Ben Spies, Monster Yamaha Tech 3
#1 Monster Energy Graves Yamaha, Yamaha R1: Josh Hayes
Soutien pour Troy Corser
Marco Melandri
Podium: seconde place pour Marco Melandri, Hayate Racing Team
Marco Melandri, Hayate Racing Team

Voici quatre ans que Yamaha a quitté le Championnat du Monde Superbike, dont elle a pourtant été l'une des protagonistes grâce aux Troy Corser, Noriyuki Haga et autre Ben Spies. Si son palmarès n'est auréolé que de deux titres (Constructeurs en 2007, Pilotes en 2009), la marque nippone s'est affirmée comme l'un des piliers de la discipline, y prenant part dès la première saison en 1988 et cumulant 39 pole et 74 victoires.

Après avoir décidé de fermer boutique dans le paddock WSBK, Yamaha a mis en place cette année une nouvelle stratégie en dérivées de série. C'est ainsi que la marque s'implique en Superstock 1000 et dans plusieurs championnats nationaux de SBK, des disciplines restées plus proches du règlement traditionnel en comparaison de l'évolution électronique connue par le WSBK.

Autant de programmes menés avec la nouvelle R1M, avec à l'esprit l'utilité de l'expérience ainsi acquise en vue d'un retour à la série mondiale. Si le discours officiel assure que la décision sera prise en juin, cela fait bien longtemps que ce retour ne semble faire le moindre doute.

"La marque a présenté la nouvelle R1 qui participe aux championnats nationaux allemand et anglais. Elle ne participe pas au Championnat du Monde Superbike. [Yamaha] devrait revenir mais pas directement. Elle devrait s'appuyer sur un team," confirme à Motorsport.com Massimo Meregalli, ancien directeur de l'équipe d'Iwata en Mondial Superbike.

La raison de cet engagement privé serait essentiellement économique. "Avant toute chose, la base qu'il y avait lorsque j'y étais n'existe plus, elle a été complètement démantelée l'année dernière," rappelle Meregalli. "Il est coûteux d'avoir une autre structure à une époque comme la nôtre. Si cette décision devait être prise, pour moi elle serait correcte."

Beaucoup de prétendants pour la YZF-R1M

La YZF-R1M semble si bien née aux dires des chanceux qui l'ont prise en main, que le programme actuellement en préparation pour le WSBK suscite l'intérêt de bon nombre de pilotes et d'équipes privées désireuses de participer à la réalisation de ce projet.

Il faut avant toute chose regarder du côté des teams qui se sont vu confier la YZF-R1M cette saison, à commencer par MRS en Superstock 1000, une structure française qui aligne l'expérimenté Kev Coghlan et le tricolore Florian Marino (récemment blessé). Parmi les Français également concernés, on retrouve Jérémy Guarnoni, qui pilote la même machine au sein du team Trasimeno, ou encore Sylvain Barrier. Déchu de son guidon BMW en Superbike, ce dernier a trouvé refuge chez G.M. Racing en STK1000 et en Championnat d'Italie, avec la perspective d'un retour en WSBK s'il réussit sa saison.

Les championnats nationaux comportent eux aussi leur lot de prétendants. C'est notamment le cas de la série britannique, où le team Milwaukee est chargé d'aligner les R1 "officielles". Celles-ci sont confiées à deux anciens du paddock WSBK, Broc Parkes et Josh Brookes, ce dernier occupant actuellement une convaincante troisième place au Championnat.

Citons encore les noms de Max Neukirchner et Damian Cudlin (team MGM), qui ont en main la nouvelle machine en championnat d'Allemagne, ou encore celui du quadruple Champion AMA, Josh Hayes, l'homme fort de Yamaha aux Etats-Unis. Tous sont déjà connus des paddock internationaux, avec une mention spéciale pour Neukirchner, qui y a fait carrière durant dix ans.

Et puis il y a Marco Melandri. Naufragé en MotoGP, l'Italien suit de près ce projet et pourrait y trouver l'opportunité de faire son retour dans le paddock qu'il ne voulait pas quitter, celui du Superbike

Et puis il y a Marco Melandri. Naufragé en MotoGP, l'Italien suit de près ce projet et pourrait y trouver l'opportunité de faire son retour dans le paddock qu'il ne voulait pas quitter, celui du Superbike. Contrairement à ce qui a pu être rapporté ces dernières semaines, Motorsport.com est en mesure d'affirmer que le pilote italien n'a pas prolongé son engagement avec Aprilia au-delà de cette saison 2015, prolongation qu'il serait pour le moins surprenant de voir intervenir dans les prochains mois sans l'évolution profonde du package technique demandée par le pilote.

Melandri est passé en visiteur lors de la manche d'Imola, l'occasion de rendre visite à quelques anciens collègues. Et notamment à Andrea Dosoli, qui l'avait accueilli au sein de l'équipe Hayate (photo ci-contre) lorsque l'Italien avait subi de plein fouet le retrait de Kawasaki durant l'intersaison 2009 du MotoGP. Le programme privé qu'ils avaient fait vivre ensemble avait été couronné par un podium, un succès qui crée des liens. Ils se sont ensuite retrouvés en Championnat du Monde Superbike, d'abord en 2011, chez Yamaha justement, puis chez BMW.

Que devient Dosoli? Il tient désormais les rênes du programme sportif de Yamaha...

 

Article suivant Officiel - Abraham et Brookes rejoignent le WSBK avec BMW

Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse