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Van der Mark gagne en aisance de pilotage avec la Yamaha

Van der Mark est reparti d'Australie avec 16 points en poche et encouragé par les progrès accomplis d'une course à l'autre.

Michael van der Mark, Pata Yamaha

Michael van der Mark, Pata Yamaha

Yamaha

Eugene Laverty, Milwaukee Aprilia World Superbike Team, Michael van der Mark, Pata Yamaha
Michael van der Mark, Pata Yamaha
Michael van der Mark, Pata Yamaha
Michael van der Mark, Pata Yamaha
Michael van der Mark, Pata Yamaha
Eugene Laverty, Milwaukee Aprilia World Superbike Team, Michael van der Mark, Pata Yamaha
Michael van der Mark, Pata Yamaha sur la grille
Michael van der Mark, Pata Yamaha
Michael van der Mark, Pata Yamaha
Michael van der Mark, Pata Yamaha Racing
La moto de Michael van der Mark, Pata Yamaha
Michael van der Mark, Pata Yamaha
Michael van der Mark, Pata Yamaha

Après avoir construit sa carrière dans le giron de Honda, Michael van der Mark opère un virage à 180°C cette année en rejoignant Yamaha, un an seulement après le lancement du nouveau programme WSBK de la marque.

Passés les tests hivernaux et leur bilan plutôt prometteur, Phillip Island offrait au pilote néerlandais une première opportunité de se confronter en conditions réelles au reste du peloton. L'occasion de constater qu'il doit revoir ses objectifs quelque peu à la baisse par rapport à ce qu'il était en mesure de réaliser l'an dernier à pareille époque avec la CBR − sachant qu'il avait décroché un double podium en Australie −, mais aussi d'obtenir de premiers progrès à force d'efforts.

Classé 12e de la première journée d'essais, à une demi-seconde de son coéquipier, Alex Lowes, le nouveau pilote Yamaha se réjouissait déjà d'avoir accompli des progrès notables avec sa moto dès la Superpole. Heureux de voir les chronos tomber assez aisément, il était parvenu à accéder à la phase finale de la séance, s'essayant par conséquent pour la première fois au pilotage de sa R1 avec un pneu qualifs.

Qualifié dixième, cette fois à 0"7 de son coéquipier, il a enchaîné avec sa première course au guidon de la YZF-R1, une plongée dans le grand bain qui l'a confronté directement aux points forts de sa machine, autant qu'à ses aspects les plus problématiques. Neuvième à l'arrivée, il était battu sur le fil par Eugene Laverty au sein de son groupe mais concédait surtout 12 secondes au vainqueur et 11 à son coéquipier et référent.

"La course a été bonne", indiquait-il samedi. "Au début, j'étais avec les leaders, mais j'ai été en difficulté avec la traction. Je voulais être doux afin d'épargner mon pneu, mais il n'y avait pas assez de traction à l'arrière et c'est la raison pour laquelle j'ai eu du mal à rester avec eux. J'ai eu quelques belles bagarres avec les autres, mais je n'étais tout simplement pas assez à l'aise pour faire la même chose que les gars de devant."

De nouvelles solutions pour la Course 2

Dont acte. Voilà un domaine dans lequel le team devait progresser avant la seconde course, afin de mettre son pilote en meilleure condition, et plusieurs solutions allaient être tentées. "Au warm-up, on a testé quelque chose de nouveau, mais je n'ai pas senti beaucoup de différences. Pour la course, on a fait un gros changement sur la moto, je ne savais donc pas à quoi m'attendre", soulignait-il.

"J'ai pris un assez bon départ, mais j'ai été un peu gêné par les autres au premier virage. La moto m'est immédiatement apparue plus simple à piloter, on a donc beaucoup progressé pour cette course et, au début, je suis resté avec le groupe de tête", se félicitait le pilote au numéro 60, qui a finalement passé la ligne d'arrivée en septième position, à seulement deux secondes et demie de la Kawasaki de Tom Sykes.

"Je me suis bagarré contre Eugene Laverty mais cela m'a coûté du temps et, ensuite, Tom m'a passé. Je n'ai pas perdu trop de terrain sur lui et je pense que, grâce à cette course, j'en ai beaucoup appris sur la Yamaha et sur comment je peux progresser", résume un Michael van der Mark plus en confiance, plus à l'aise et boosté par ces signaux positifs. "J'étais cinq secondes plus proche de l'avant de la course en comparaison de [samedi] et la moto était plus facile à piloter. Au final, j'ai couru seul, mais j'étais très content parce que je faisais quand même des temps réguliers et on a amélioré la performance en course."

Du côté du team Crescent et de Yamaha, on retient désormais la note positive de la fin du week-end et c'est sur cette base que l'on entend capitaliser pour la suite du championnat. "Il est important que Michael ait pu couvrir deux distances de course complètes et marquer de gros points", souligne Paul Denning, team manager. "Cette expérience constitue une solide base à partir de laquelle son team et lui-même peuvent construire. C'est un plaisir d'avoir un coureur aussi déterminé au sein de l'équipe et de la famille Yamaha."

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