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10 choses à retenir des essais de Phillip Island

O.P., Sepang - Découvrez en quelques photos ce qu'il faut retenir de la deuxième séance d'essais collectifs de l'année, disputée la semaine dernière en Australie. Cliquez sur chaque image pour passer à la suivante !

Marc Marquez, Repsol Honda Team

Photo de: Mirco Lazzari

Yamaha redescend sur terre
Le constructeur japonais a conservé la supériorité affichée à Sepang, mais elle était moins importante à Phillip Island, un circuit très particulier avec ses virages très rapides. Lorenzo et Rossi ont choisi de se concentrer sur la M1 hybride (avec le châssis de l'an dernier) et ont écarté la nouvelle moto.
Rossi est toujours en forme
À Sepang, Lorenzo avait affiché une nette supériorité sur Rossi, qui n'avait pas été en mesure de rivaliser avec lui. L'Italien a reconnu se sentir beaucoup mieux à Phillip Island, et cela s'est traduit dans les chronos. Compétitif sur le tour lancé et sur la distance, Rossi déclarait jeudi, après la journée la plus productive : "Si la course devait partir maintenant, je pense que je pourrais me battre pour la victoire."
L'illusion Honda
Márquez et Pedrosa ont quitté l'Australie avec des sentiments mitigés. Certes, Honda a travaillé très dur, en particulier sur l'électronique, néanmoins l'équipe japonaise estime que ses progrès étaient dus à la nature de la piste. "Cette piste est très particulière et on savait qu'on serait compétitifs ici", a confié Márquez. Le principal problème de la RC213V se situe à l'accélération, dans les rapports courts, et cela la pénalisera beaucoup sur les prochains tests, au Qatar.
Viñales dans le coup
Il n'a qu'un an d'expérience, pourtant Maverick Viñales a démontré qu'il était l'un des pilotes les plus en forme de cette pré-saison. L'Espagnol a quitté le circuit avec le meilleur temps de ces trois jours (1'29"131), ravi de la nouvelle GSX-RR. Contrairement à son coéquipier, Aleix Espargaró, qui a bien du mal à signer des chronos compétitifs, Viñales parvient aisément à pousser sa moto à la limite.
Des progrès constants pour Suzuki
Sur la base des commentaires des pilotes, Suzuki a conçu un prototype bien meilleur que celui de 2015. Le nouveau moteur apporte plus de puissance et les ingénieurs progressent sur le front de l'électronique. En ce qui concerne le châssis, les pilotes ont tous deux admis être un peu plus à l'aise avec l'ancien, tout en reconnaissant beaucoup de potentiel au nouveau. "On a testé énormément de choses qui s'avéreront utiles pendant la saison", indiquait Viñales le dernier jour.
Ducati va à son rythme
L'une des informations les plus difficiles à analyser pour l'instant, c'est le niveau de forme de Ducati. L'équipe italienne continue de développer la nouvelle Desmosedici GP, mais beaucoup plus lentement que Honda et, surtout, Yamaha. Il faudra voir quelles seront les performances de Dovizioso et Iannone au Qatar, la semaine prochaine. Casey Stoner doit lui aussi rouler à Losail, les 6 et 7 mars, après la séance officielle.
Michelin dérape
Les louanges faites à Michelin à Sepang se sont transformées en critiques deux semaines plus tard. Le nouveau pneu avant fourni par le manufacturier en Australie n'a été apprécié de pratiquement personne et les pilotes se sont pour la plupart plaints d'un manque d'adhérence. Vendredi, treize chutes ont été enregistrées, la plupart lorsque les températures ont baissé. "Ce qu'il s'est passé avec les pneus n'est pas normal", s'est plaint Aleix Espargaró. "Il faut se montrer très prudent parce que le feeling que procure le pneu est qu'il manque de grip. C'est très fatigant", a expliqué pour sa part Jorge Lorenzo, ajoutant : "Sur ces trois tests, je suis tombé trois fois, ça n'est pas normal."
Coup dur pour Petrucci
La belle intersaison de l'Italien a tourné court vendredi, avec un accident qui lui a valu une triple fracture de la main droite. Petrucci manquera les essais du Qatar et il est toujours incertain pour la première course de la saison, dont le départ sera donné le 20 mars. Pramac lui trouvera un remplaçant pour la semaine prochaine, très probablement Michele Pirro.
Les outsiders à la fête
L'arrivée de la nouvelle électronique a ouvert les portes du top 10 aux plus petites équipes. L'exemple le plus évident est celui du team Avintia. Leurs Ducati ont beau avoir deux ans, Héctor Barberá et Loris Baz ont tous deux réalisé jusqu'ici une pré-saison remarquable. Le nouvel ECU leur offre de meilleures performances que le système qu'ils utilisaient auparavant, une situation opposée à celle des équipes de pointe.
Le Qatar, le test ultime
Les dernières questions commenceront à trouver des réponses mercredi, à Losail. On comprendra, entre autres, si Honda a véritablement progressé ou bien si l'équipe est toujours perdue, sans direction claire à suivre. Márquez, par exemple, utilise toujours le châssis de l'an dernier alors que tous les autres pilotes Honda ont opté pour le nouveau. Les équipes, en majorité, réaliseront aussi des simulations de course, la meilleure façon d'analyser leurs forces et leurs faiblesses.
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