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Hamilton : "Pas de mot pour expliquer à quel point c'était difficile"

Après être parti cinquième, Lewis Hamilton a rallié l'arrivée du Grand Prix de Monaco en quatrième place, au terme d'une fin d'épreuve particulièrement difficile où, malgré un désavantage stratégique et des conditions très piégeuses, il aura tenu le cap en échouant au pied du podium.

Démarrée en pneus mediums, la course de Lewis Hamilton contraste assez nettement avec celle de son équipier George Russell : le septuple Champion du monde a vite été mis en difficulté par le graining des gommes à flancs jaunes et a été contraint à un arrêt précoce. Il fut en réalité le premier des leaders à passer par les stands, ce qui l'a longtemps mis dans une position défavorable face à d'autres pilotes qui ne s'étaient pas arrêtés.

Parmi eux, bien sûr, l'on comptait son équipier Russell, parti en durs et qui a fait le pari d'attendre la pluie pour s'arrêter. Mais le jeune Britannique, qui semblait avoir fait le plus dur pour s'adjuger un podium opportuniste, a finalement perdu cette opportunité en commettant une erreur à Mirabeau. Hamilton a été l'un de ceux à en avoir profité, en dépit de conditions de piste qu'il peine à décrire.

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Lewis, que pensez-vous de cette course ?

[C'est] un bon résultat, une bonne amélioration globale sur le plan collectif, je pense que nous avons fait un pas en avant. Obtenir une quatrième et une cinquième places dans une course aussi délicate que celle-ci aujourd'hui, je crois que c'est vraiment un très bon résultat. L'équipe a fait du très bon travail aujourd'hui au niveau de la stratégie, et passer devant les Ferrari [au moment du dernier arrêt] c'était génial.

Les tours sous la pluie étaient délicats, fous ?

Oui, très. Il n'y a pas de mot pour expliquer à quel point c'était difficile et de mon côté, je n'arrivais pas à mettre de la température dans mes pneus intermédiaires. Je roulais prudemment et je pense que le moment du changement de pneus était le bon, c'est juste que j'ai perdu du terrain par rapport à tout le monde quand j'ai dû m'arrêter [pour chausser des durs au 31e tour] et qu'il a plu ensuite. Je crois donc que j'ai été un peu désavantagé [par la stratégie initiale] et que ça a rendu les choses un peu plus difficiles, mais il n'y pas eu d'erreurs, nous avons gardé le cap.

C'était dangereux à ce moment-là ?

Pour moi, c'était très instable. Nos pneus ne fonctionnaient pas, c'était comme si j'étais sur de la glace. Mais au bout d'un moment, les pneus ont commencé à fonctionner et ça a commencé à aller mieux, mais j'étais à deux doigts de sortir de la piste, de me crasher et de provoquer une grosse sortie, mais ça s'est bien passé.

Comment vous êtes-vous senti avec la W14 évoluée en conditions de course ?

J'ai l'impression que la voiture a progressé. Je pense que la semaine prochaine [à Barcelone], nous aurons une meilleure perception de la voiture sur un circuit où nous pourrons vraiment pousser dans tous les virages à moyenne et haute vitesse, mais je pense que dans l'ensemble, c'était positif pour nous.

Avec Megan White et James Newbold

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