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Haas a le cœur brisé, Grosjean "un peu envie de pleurer"

Du rêve au cauchemar, Haas a perdu ses deux voitures suite à un problème dans les stands lors du Grand Prix d'Australie.

Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18, après son abandon

Photo de: Sutton Motorsport Images

Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18 Ferrari, Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18, dans les stands
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18 Ferrari, quitte le garage
Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-18 alors que Max Verstappen, Red Bull Racing RB14 est en tête à queue
Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-18 Ferrari, Max Verstappen, Red Bull Racing RB14 Tag Heuer, et Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18 Ferrari
Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-18 Ferrari, sur la grille
Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-18 devant Max Verstappen, Red Bull Racing RB14
Kevin Magnussen, Haas F1 Team, dans son cockpit
Romain Grosjean, Haas F1 lors de la parade des pilotes
Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-18 Ferrari
Romain Grosjean, Haas F1
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18 Ferrari
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18 Ferrari

De la satisfaction légitime qui a suivi les qualifications, avec deux monoplaces positionnées en troisième ligne, Haas est passé au cauchemar ce dimanche à Melbourne. Pourtant, le rêve s'était d'abord poursuivi avec un départ canon de Kevin Magnussen, alors bien parti pour s'installer durablement au quatrième rang.

Pour l'écurie américaine, tout a basculé au moment de la valse des arrêts au stand. En quelques minutes seulement, la jeune équipe a tout perdu, avec à chaque fois un scénario identique. Peu après avoir changé de pneus, Kevin Magnussen s'est retrouvé au ralenti avant de s'immobiliser. On a d'abord pensé à un problème moteur… Jusqu'à ce que le même événement se répète quelques instants plus tard avec Romain Grosjean, contraint d'immobiliser à son tour sa VF-18 et d'en sortir en se prenant la tête à deux mains…

Dans les deux cas de figure, c'est bien un problème de pistolet pneumatique et de roue mal serrée qui a coûté très cher. Haas a dû s'en expliquer devant les commissaires, qui lui ont infligé deux amendes de 5000$ chacune, prenant en compte le fait qu'à chaque fois le pilote se soit arrêté rapidement. Il va maintenant falloir trouver les réponses à ce qui s'est produit. En attendant, ses pilotes doivent digérer d'avoir manqué un coup qui s'annonçait parfait.

"Il y a quelque chose qui n’a pas fonctionné à l'arrêt au stand, la roue était mal attachée, j’ai dû m’arrêter tout de suite", raconte Romain Grosjean au micro de Canal+. "Ça pique, c’est sûr. On va voir si c’est un problème humain, matériel... Désolé à tous les fans français qui se sont levés ce matin."

"On était confortablement dans le rythme, dès que Kevin est rentré au stand, j’ai immédiatement gagné une seconde au tour. On perd peut-être 22 points aujourd’hui au championnat constructeurs et ça pèse beaucoup dans la balance. On fait tous des erreurs... Si c’est une erreur humaine, c’est une erreur humaine. Si c’est matériel, on va changer ça. Là, tout de suite, on a un peu envie de pleurer. Le retour va être long, mais si à Bahreïn on arrive à faire la même chose [en performance], ce sera extraordinaire."

"J'étais content du rythme sur les relais courts comme longs. Je suis sûr que j'aurais pu tenir le rythme de ceux de devant si j'avais été devant Kevin en début de course. Nous devons analyser ce qui s'est passé et revenir plus forts comme nous le faisons toujours. Tout le monde est déprimé et nous devons analyser si c'est un problème de pistolet ou de mécanicien. Nous n'avons eu aucun problème en essais hivernaux, c'est un peu étrange. Si nous pouvons réitérer cette performance course après course, nous oublierons ça très vite."

Moins loquace, Kevin Magnussen était tout aussi dépité par cette cruelle désillusion, mais lui aussi dans un état d'esprit déjà conquérant pour la suite.

"C'est très dur à avaler", ne cache pas le Danois. "Pour toute l'équipe, l'abandon des deux voitures dans une si bonne position, avec de telles attentes, argh ! Ça brise le cœur de finir comme ça. Nous prendrons notre revanche."

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