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Red Bull "a perdu foi en Renault"

Dans un entretien pour ServusTV, Helmut Marko est revenu sur la fin de la collaboration entre Red Bull et Renault, qui sera actée au terme de l'exercice 2018.

Cyril Abiteboul, directeur général Renault Sport F1 et Dr Helmut Marko, consultant Red Bull Motorsport, sur la grille

Photo de: Sutton Motorsport Images

La firme autrichienne et le constructeur français collaborent depuis 12 saisons, au terme desquelles le bilan sera au minimum de quatre titres mondiaux, 58 victoires et 59 pole positions. Les dernières années, cependant, auront précipité la chute du duo qui a régné sur les premières saisons de la décennie 2010, symbolisée par un rebadgeage TAG Heuer des unités de puissance au losange depuis 2016.

Red Bull a fait le choix de se tourner vers Honda à partir de 2019, espérant trouver dans le motoriste japonais le terreau des futurs sacres du taureau, même s'il peine grandement en termes de fiabilité et de performance depuis son retour en 2015. 

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Invité à revenir sur la fin de la relation entre RBR et Renault, Helmut Marko a ainsi expliqué : "Le point crucial est venu en 2014 avec les nouvelles règles moteur. Ironiquement, Renault a fait pression en faveur de ces nouvelles règles hybrides avec MGU-K et MGU-H, mais à ce jour, ils n'ont jamais été en mesure de s'y attaquer. Ils ne sont pas au même niveau que Mercedes ou Ferrari. De plus, ils sont aux prises avec des problèmes de fiabilité. Nous avons perdu foi en Renault."

Après avoir dominé la fin de l'ère du V8 atmosphérique, grâce à un package qui appuyait tout à la fois sur l'excellence aérodynamique de Red Bull et l'innovation technologique de Renault, les V6 turbo hybrides ont changé la donne en plaçant Viry-Châtillon en retrait et en retard. Un retard qu'il peine toujours à combler aujourd'hui alors même que Ferrari a clairement progressé, passant même devant Mercedes en puissance.

"Honda est un partenaire engagé, qui a les ressources financières et techniques et nous sommes l'équipe numéro un pour eux. Avec Renault, nous n'étions qu'un client payant. Nous avons été traités équitablement, mais bien sûr, l'équipe de l'usine a toujours eu la priorité. Ils nous prédisaient toujours que nous serions compétitifs l'année suivante, mais cela ne s'est jamais produit. Nous étions donc heureux de saisir cette opportunité [avec Honda]."

Avec Ruben Zimmermann

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