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Hülkenberg : "Deux ou trois ans" encore nécessaires pour Renault

Le pilote allemand insiste sur le temps nécessaire à la reconstruction d'un top team, lui qui a rejoint le projet Renault au début de l'année 2.

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17

Andrew Hone / Motorsport Images

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault F1 Team
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17 envoie des gerbes d'étincelles
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17

Après la présentation de sa monoplace qui aura ce mardi, Renault va lancer sa troisième saison en Formule 1 depuis son retour avec une écurie d'usine. Suite au rachat de Lotus fin 2015, le constructeur français a investi massivement pour remettre à niveau les infrastructures d'Enstone mais aussi pour recruter en nombre.

Le plan de route doit mener le Losange vers le haut de la grille, avec l'ambition de jouer le titre mondial dans les années qui viennent. Néanmoins, se hisser au niveau d'équipes de pointe comme Mercedes prend du temps, ce dont a parfaitement conscience Nico Hülkenberg, arrivé chez Renault l'an dernier.

"C'est vraiment quelque chose de très prenant d'amener une équipe au niveau où se trouvent Red Bull et Mercedes", admet le pilote allemand auprès de Motorsport.com. "L'investissement qu'ils [Renault] font actuellement pour construire et moderniser l'usine, nous n'en verrons le bénéfice que dans deux ou trois ans, pas avant que tout soit opérationnel au sens où nous l'entendons. Il y a toujours une longue attente."

"Tout le monde a traversé la même chose. Prenez Mercedes : pendant combien d'années ça allait chez eux, mais sans être au niveau où ils sont actuellement ? Pareil pour Red Bull. Ça prend une paire d'années pour surmonter ces choses-là, car c'est un sport tellement compliqué, tandis que les règlements continuent de changer, alors tout évolue constamment. Il faut s'adapter en permanence, il faut de nouvelles personnes avec de nouvelles idées, et plus de monde."

Évolution constante

Lors de l'ère précédente durant laquelle Renault disposait de son équipe d'usine, le programme a connu son apogée en 2005 et 2006, avec à chaque fois le titre mondial à la clé. Mais en reprenant le contrôle d'Enstone dix ans plus tard, l'ayant cédé à Genii Capital, le constructeur tricolore a mis la main sur un passif et sur une structure sous-développée, comme cela a été si souvent décrit ces deux dernières années.

"Je ne sais pas si j'appellerais ça un changement radical, mais on voit à l'œil nu que beaucoup de choses évoluent ou bien qu'il y a constamment du travail dessus", précise Hülkenberg en évoquant les progrès réalisés. "Il faut comprendre d'où vient l'équipe, et quand Renault a décidé de racheter l'équipe pour en faire de nouveau son écurie d'usine, elle était en très mauvais état. Ça prend du temps de reconstruire, même si nous aimerions tous le faire en deux semaines, ça ne se passe pas comme ça."

En 2017, Renault a terminé sixième du championnat constructeurs à la faveur d'une belle remontée durant la deuxième partie de saison, ce qui lui avait permis de prendre le dessus sur Toro Rosso et Haas. Une preuve de la capacité à progresser et à faire fructifier le développement.

"L'évolution de Silverstone a changé la donne au cours de notre saison", reconnaît Hülkenberg. "Ça nous a vraiment fait passer d'une équipe qui n'était pas vraiment dans les points à une équipe qui y prétendait régulièrement. Nous avions l'étoffe pour le top 10 en deuxième partie de saison. D'un autre côté, il y a eu beaucoup d'opportunités manquées à cause de problèmes auxquels nous avons dû faire face, mais liés à là d'où revenait l'équipe. Nous devons surmonter ces choses-là. Je préfère les vivre maintenant et disposer d'un package globalement bien plus compétitif pour 2018 et au-delà plutôt que les rencontrer à chaque fois."

Propos recueillis par Jonathan Noble

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