Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse
Actualités

Redding a saisi sa 2e chance avec Aprilia car il se sentait prêt

L'Anglais quittera Pramac en fin de saison pour remplacer Sam Lowes chez Aprilia et ouvrir un nouveau chapitre de sa carrière, cette fois en tant que pilote officiel.

Scott Redding, Pramac Racing

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Scott Redding, Pramac Racing
Scott Redding, Pramac Racing
Scott Redding, Pramac Racing
Scott Redding, Pramac Racing
Scott Redding, Pramac Racing
Scott Redding, Pramac Racing
Scott Redding, Pramac Racing
Scott Redding, Pramac Racing
Scott Redding, Pramac Racing
Scott Redding, Pramac Racing
Scott Redding, Pramac Racing
Scott Redding, Pramac Racing

Remplacé par Jack Miller chez Pramac, Scott Redding trouvera refuge l'an prochain chez Aprilia. C'est l'opportunité pour lui de devenir pilote officiel, à un stade de sa carrière où il estime être prêt pour ce type d'engagement.

"J'ai failli signer avec Aprilia il y a deux ou trois ans, mais je n'avais pas le sentiment que la moto était véritablement prête et je n'étais pas prêt à développer une moto en partant de zéro", rappelle le pilote anglais. "J'étais jeune et je voulais des résultats. […] Ils ne sont pas venus – les résultats n'ont pas été au rendez-vous. Mais la moto est maintenant dans sa troisième année et on peut voir qu'elle a beaucoup progressé."

"La raison pour laquelle j'ai refusé il y a trois ans, c'est que j'aurais été dans la position de Sam [Lowes], pas prêt à développer une moto", résume-t-il, parfaitement conscient de la situation difficile dans laquelle a été placé son compatriote dans sa première année. "Je n'étais pas vraiment prêt pour cela", reprend-il, "et je savais qu'il était encore tôt pour eux, c'était un projet jeune et ils n'allaient pas obtenir de résultats dans les deux premières années."

Un développement en cours

Engagée en 2015, l'Aprilia a d'abord connu une mise à niveau douloureuse en MotoGP, la moto n'étant pas encore aboutie lorsqu'elle a fait son entrée. Le travail et les changements profonds opérés ont fini par apporter des résultats et c'est aujourd'hui l'amélioration générale des performances de la RS-GP, avec la réduction de son retard et son gain de régularité, qui a séduit Redding.

"Je suis assez content d'aller là-bas. Je crois que j'aime le style de la moto, ce que j'en vois en piste fonctionne bien. Ce qu'il y a de positif pour moi en allant chez Aprilia c'est l'usure des pneus, la distribution du moteur et la maniabilité de la moto", anticipe-t-il. "Le seul point négatif c'est l'accélération et la puissance, mais ils travaillent encore pour améliorer cela."

"C'est à mon sens le plus important quant au fait de rejoindre un constructeur et de rejoindre Aprilia. Ils développent, ils suivent une route ascendante. Ils ne sont pas comme Yamaha, Honda ou Ducati qui, une fois qu'ils ont atteint leur niveau, doivent essentiellement affiner les choses. Ils [Aprilia] sont encore en phase d'ascension, comme Suzuki ou KTM. Ils grimpent les échelons et c'est dans cela que je veux être impliqué, je veux développer, je veux faire en sorte que ça fonctionne."

Scott Redding aura 25 ans quand il entamera, début 2018, sa cinquième saison en MotoGP, fort de deux ans d'expérience avec Honda (chez Gresini puis Marc VDS) et deux ans supplémentaires avec la Ducati satellite du team Pramac. "J'ai été sur Honda et sur Ducati et je peux utiliser les informations des deux pour apporter mon aide", suggère-t-il.

"Ils m'ont mis une offre sur la table. Au final, j'ai eu deux choix. Retourner chez Honda c'était beaucoup demander, parce que si le problème [par le passé] était la taille de la moto, alors je ne pourrai pas changer cela : je ne pourrai pas changer ma taille, ni celle de la moto. Si c'était à cause des pneus Bridgestone que ça n'a pas fonctionné par le passé, à cause de l'électronique [deux éléments qui ont changé depuis, ndlr], ou bien si c'était à cause de la gestion du moteur… peut-être qu'avec plus d'expérience je pourrais le faire fonctionner, mais cela aurait été un pari assez grand. Aller chez Aprilia, c'est quelque chose de différent, c'est un nouveau projet."

Be part of Motorsport community

Join the conversation
Article précédent Petrucci y croit : "Je peux encore finir devant Lorenzo"
Article suivant Le programme du Grand Prix de Saint-Marin

Top Comments

Il n'y a pas de commentaire pour le moment. Souhaitez-vous en écrire un ?

Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse